Les SOUVERAINISTES défendent une France chrétienne au coeur d'une Europe chrétienne.
Programme Gouvernemental des Souverainistes : nos 12 réformes majeures.
Le développement de nos fleurons industriels et numériques est un enjeu clé pour les Souverainistes. Depuis la fin des Trente Glorieuses (1945-1975), la Souveraineté industrielle qui consiste à ne pas dépendre de la production d'autrui pour satisfaire certains besoins économiques et à pouvoir agir sans être soumis à la volonté d'un autre Etat ou d'une entreprise étrangère s'est érodée. La désindustrualisation, les délocalisations, les importations massives, la dépendance numérique, le recours aux travailleurs étrangers détachés (500 000 par an) sont des facteurs visibles de cette érosion. La balance commerciale reflète la dépendance de la France vis à vis de la production étrangère. En 2020, la France affiche le pire déficit commercial de son histoire : 82 milliards d'euros tandis que l'Allemagne affiche un excédent commercial de 182 milliards d'euros et l'Italie de 64 milliards d'euros. De même, le recul de l'emploi industriel en France est alarmant : l'industrie représente 13% du PIB marchand derrière l'Allemagne (25% du PIB) et l'Italie (21% du PIB). 65% des biens manufacturés sont importés de l'étranger. L'urgence d'une reconquête de la souveraineté industrielle et numérique passe par la réindustrialisation de la France, les relocalisations stratégiques, l'excellence du niveau scolaire, une dynamique exportatrice, un cloud 100% français, le développement de la 4G partout en France. Il est aussi capital de défendre notre souveraineté numérique nationale (en développant un CLOUD français ultra-sécurisé) et en garantissant à chaque Français une connexion internet de qualité sur toute le territoire. La souveraineté industrielle et numérique n'est pas synonyme d'autarcie. Elle encourage les échanges commerciaux sous réserve que les produits importés respectent les normes communautaires. Elle se méfie du télétravail et du 100% digital qui déshumanise les relations sociales et professionnelles. La souveraineté industrielle et numérique implique aussi de développer une offre productive nationale adaptée aux principaux besoins de la population française : alimentation, énergie, santé, transports. Il s'agit de réduire notre dépendance industrielle et technologique aux entreprises et produits étrangers. Aujourd'hui, les Souverainistes plaident pour une relocalisation des productions stratégiques, c'est à dire pour un retour en France des usines, antérieurement délocalisées dans les pays à faibles coûts salariaux et fiscaux. Ils défendent aussi la mise en place d'une fiscalité attractive : impôt sur les sociétés à 15% sur les bénéfices, baisse drastique de la TVA (5% sur tous les produits et services), suppression des charges sociales et patronales sur les salaires privés comme publics (hors CSG et CRDS qui participent au financement de la Sécurité Sociale, de l'assurance chômage, des retraites, de la formation professionnelle et de la dette sociale). Ces 3 leviers fiscaux (baisse IS, IR, TVA) sont les seuls moyens d'améliorer durablement le pouvoir d'achat des Français et la compétitivité des entreprises françaises en tant que créatrices d'emplois. En ce qui concerne notre souveraineté militaire, les Souverainistes militent pour le renforcement de notre industrie aéronautique, spatiale et de défense afin que de conforter nos opérations de projection, protection et dissuasion qu'elles soient aéro-terrestres ou aéro-maritimes. Ils défendent la qualité de nos satellites (les meilleurs du monde) ainsi que le Système de Combat Aérien du Futur (SCAF) initié en 2018. Les Souverainistes plaident enfin pour la mise en place d'une méritocratie éducative fondée sur un système d'examens nationaux, anonymes et uniformes sur tout le territoire (Dom-Tom compris) et pour la suppression des protocoles de discrimination positive mis en place au sein des Universités, Grandes Ecoles et Concours depuis 2017. Ces mesures de discrimination positive sont contraires à l'article 6 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789 qui rappelle que " Tous les citoyens sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois, selon leur capacité et sans autre distinction que celles de leurs vertus et talents ". Les Souverainistes militent enfin pour le développement d'une main d'oeuvre qualifiée grâce à des Universités et des Grandes Ecoles de renom et à une présence affirmée de la France dans les concours et classements internationaux (Pisa, Piaac, Médaille Fields et Prix Nobel). Quant à l'ENA (Ecole Nationale d'Administration), elle devrait être, selon les Souverainistes, réformée dans ses contenus et son recrutement (qui doit rester élitiste) mais retrouver son nom d'origine qui a fait, jusqu'alors, sa notoriété.
Agnès Cerighelli
Présidente des Souverainistes
Présidente des Souverainistes
Le livre d'Agnès Cerighelli
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