Les Souverainistes sont pleinement attachés à une Europe Chrétienne des Nations Souveraines et souhaitent que la future Constitution de l'UE (ou Charte Européenne des Droits Fondamentaux) reconnaisse dans son préambule les racines chrétiennes de l'Europe. Cette doctrine souverainiste est le seul moyen de sortir l'Union Européenne des 27 de la crise à la fois politique, morale, bureaucratique, migratoire et financière qui la discrédite auprès de tant de nos compatriotes. Car malgré la diversité des langues et des cultures, les Européens partagent de nombreux fondamentaux : racines chrétiennes et ethniques, attachement à la liberté et à la démocratie, à l'égalité H/F, à la laïcité de l'Etat, aux arts et aux lettres, au commerce, à l'industrie et à l'agriculture, à la Renaissance, au Christianisme et à la Philosophie des Lumières...Surfant sur ces valeurs communes, les Etats-Membres ont institutionnalisé après le Traité de Rome (1957) le Marché commun, la Préférence communautaire, la Politique Agricole Commune (1962) puis la création de l'espace Schengen (1995), c'est à dire un "espace sans frontières intérieures, dans lequel est assurée la libre circulation des marchandises, des personnes, des services et des capitaux" de 450 millions de ressortissants (dont certains ne sont pas européens !!!). La succession des autres traités européens (Lisbonne, Nice, Amsterdam, Maastricht) a rompu avec l'Europhilie des fondateurs de l'UE (tous démocrates-chrétiens), encouragé le fédéralisme européiste, entraîné une bureaucratisation excessive, accéléré la submersion migratoire et acté une multiplication des transferts de compétences des 27 Etats-Membres vers la Commission Européenne. Avec le traité de Maastricht, l'UE des 27 qui recouvre 447 millions d'habitants (la France pèse 15% de la population européenne) est devenue une entité commerciale sans âme, voire un magma technocratique qui a oublié l'épanouissement de ses citoyens européens au nom d'une vision mercantiliste, matérialiste, belliqueuse, oecuménique et consumériste de ses missions multipliant les aides financières injustifiées à des pays hors UE (16 actuellement dont l'Ukraine) au détriment des 27 Etats-Membres. Face à ce contexte, les Souverainistes militent pour une révision de la Politique Européenne du Voisinage (PEV) qui coûte 7 milliards d'euro/an, un arrêt des invasions migratoires arabo-africaines et un moratoire ferme sur l'élargissement de l'UE (qui n'a pas lieu d'être). Lors de la crise sanitaire du COVID, les discussions sur le budget et la dette commune européenne ont mis en évidence des fractures profondes entre les pays dits frugaux (Danemark, Suède, Autriche, Pays-Bas) et les pays dits dépensiers (France, Italie, Espagne et Grèce). Le Souverainisme de la Hongrie et de la Pologne défendant leurs racines chrétiennes,  luttant courageusement contre l'immigration islamique et le lobby LGBT, refusant  "la promotion de la pornographie et de l'homosexualité auprès des mineurs" ainsi que le "Certificat européen de la Parentalité" (qui permet une reconnaissance de la GPA), au lieu d'être soutenu par la Commission Européenne, a été dénoncé par 15 chefs d'Etat européens - tous progressistes, libertaires, voire gauchistes. Enfin, la libre circulation des personnes au sein de l'espace Schengen a fait exploser l'immigration arabo-africaine, la délinquance étrangère, l'afflux de réfugiés sub-sahariens et provoqué le Brexit anglais. La France est devenue incapable de protéger ses frontières nationales et impuissante à stopper les invasions migratoires islamiques émanant du Maghreb, de l'Afrique et de l'Orient. Il est vrai que FRONTEX peine à sécuriser les  32 000 km de frontières maritimes et les 12 000 km de frontières terrestres ainsi que les 1900 points d'entrée à l'UE et que sa mission militaire et maritime doit être renforcée. Finalement, en quelques années, en raison des traités européens successifs, la France a perdu tous ses leviers d'action souverains - monétaire, sanitaire, industriel, juridique, migratoire. Elle a sacrifié sa souveraineté nationale pour bâtir une Union Européenne qui devait démultiplier son influence, sa prospérité et sa compétitivité. Or c'est le contraire qui s'est passé : la France est devenue une puissance dés-industrialisée et donc vulnérable au nom de la Constitution du Marché Unique. L'industrie nucléaire qui assure notre indépendance énergétique est désormais menacée par les "khmers verts" européistes obsédée par l'idéologie de la décarbonation (qui reste une idéologie coûteuse, fallacieuse et parfaitement injustifiée). Beaucoup de nos fleurons industriels ont été vendus à des entreprises étrangères ou démantelés depuis 2017. Nos technologies, vignobles, châteaux, entreprises ... ont été vendus à des investisseurs non-européens (en particulier chinois). 50% de notre dette publique est détenue par des fonds étrangers dits vautours. Sur le plan budgétaire, la France est devenue incapable de mettre ses comptes à l'équilibre, déléguant à la BCE de Frankfort (Banque Centrale Européenne) le soin de battre la monnaie unique (l'euro) et à Bruxelles les clés du Trésor. Face à cette crise structurelle, les Souverainistes militent pour le refus d'une Europe fédérale, multi-raciale et progressiste, ce qui signifie de mettre fin aux transferts de souveraineté et à la marche forcée vers le fédéralisme européiste cher au Parti européiste RENEW et défendent l'Europe Chrétienne des Nations Souveraines (avec une modification du drapeau européen incluant une croix chrétienne). Sur le plan sécuritaire, ils veulent que la Défense demeure une prérogative nationale et non européenne. Sur le plan géographique, les Souverainistes veulent que la question des frontières de l'UE soit strictement définie et qu'un pays (géographiquement africain, asiatique ou oriental) ne puisse aucunement adhérer à l'UE des 27. Sur le plan économique, les Souverainistes veulent instaurer un "Buy European Act" et réviser le droit de la concurrence européenne pour constituer des champions industriels français ou européens sur le modèle d'AirBus. Il n'est pas acceptable que les autorités de la concurrence européenne ne fassent aucune différence entre une entreprise européenne, une entreprise américaine et une entreprise chinoise. Les Souverainistes veulent redonner toute leur force au marché commun et à la préférence communautaire inscrits dans le Traité de Rome de 1957. Sur le plan agricole, les Souverainistes défendent la réforme de la PAC afin qu'elle garantisse la prospérité des 390 000 agriculteurs français (dont le SMIC au minimum doit être garanti en matière de revenu et retraite) et veulent que nos productions agricoles françaises soient protégées grâce à des droits de douane élevés imposés aux produits provenant de pays-tiers (en particulier de l'Ukraine). Sur le plan politique, les Souverainistes français veulent limiter l'Union européenne à la civilisation chrétienne, c'est à dire aux 27 Etats-Membres actuels, ce qui revient à stopper définitivement le processus d'adhésion de la Turquie (islamique) à l'UE, à l'accueil de migrants arabo-musulmans dans l'UE et à toute nouvelle entrée d'un Etat-Candidat (11 pays hors UE ont le statut de candidats dont l'Ukraine). Sur le plan législatif, les Souverainistes veulent réduire la bureaucratie de l'UE et réformer en profondeur le fonctionnement des 7 institutions européennes (Conseil européen, Commission européenne, Conseil de l'Union européenne, Parlement européen, Cour de Justice de l'Union européenne, Cour des Comptes européenne, Banque Centrale européenne) dont certaines devront être supprimées car elles ont généré une bureaucratie complexe, inefficace et coûteuse, accru le nombre de fonctionnaires européens (48 000 en 2023) et infantilisé les Etats-Membres. Ils militent pour que soit réduit le budget européen (La France verse chaque année 27 milliards d'euros à l'UE (en n'en récupère que 15). Sur le plan juridique, les Souverainistes plaident résolument pour un FREXIT JURIDIQUE : ils veulent que la France sorte de la CJUE (Cour de Justice de l'Union Européenne) et de la Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH) afin qu'elle retrouve sa pleine souveraineté juridique. Les Souverainistes ne cessent de dénoncer l'iniquité de la Convention de Sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales de 2010 et en particulier son article 12 sur le Droit au Mariage qui autorise le mariage des mineurs et son article 4 qui interdit "les expulsions collectives d'étrangers". Sur le plan judiciaire, les Souverainistes veulent que tout clandestin ou que tout étranger reconnu coupable d'un crime ou d'un délit soit expulsé systématiquement de l'espace Schengen, incarcéré dans son pays d'origine et perde son statut de réfugié. A l'instar de la Pologne et de la Hongrie, les Souverainistes veulent aussi instaurer dans la Constitution française la primauté de la loi nationale sur la loi européenne, surtout lorsque cette dernière est postérieure, afin de permettre à un Parlement national de suspendre par une loi de souveraineté nationale l'application d'un texte qui porte atteinte à ses intérêts nationaux. Les Souverainistes refusent la politique de libre concurrence (mise en place par l'Acte unique européen de 1986) : ils veulent protéger les entreprises françaises qui produisent des biens communs (eau, gaz, électricité, nucléaire, courrier, ferroviaire, fret ferroviaire) et militent pour qu'elles redeviennent des monopoles publics protégés de la concurrence privée afin de maintenir des prix bas et réglementés car ils remplissent un "service d'intérêt économique général". En ce qui concerne la distribution du courrier qui est une mission stratégique, les Souverainistes considèrent que la Poste doit rester un service public, que les postiers doivent porter uniforme, être assermentés et français et que le prix du timbre vert doit être égal à 1 euro. Sur le plan énergétique, les Souverainistes militent pour que l'industrie nucléaire soit reconnue comme une énergie écologique et durable et soit inclue dans la taxonomie verte de la Commission européenne. Sur la question de la régionalisation, les Souverainistes défendent l'autonomie économique de la Corse et des territoires d'Outre-Mer (qui représentent 3 millions d'habitants) mais refusent la territorialisation excessive de la métropole sur le modèle des "Landers" allemands. Face au différentialisme séparatiste, les Souverainistes préfèrent le centralisme étatique, gage d'efficacité de l'action publique. Enfin, les Souverainistes récusent toute libéralisation commerciale, qu'il s'agisse du MERCOSUR (Brésil, Argentine, Uruguay et Paraguay), du CETA (avec le Canada) ou du TAFTA (Etats-Unis/Europe). Les Souverainistes veulent une autre Europe, une Europe résolument chrétienne, une Europe de la Paix et de la Prospérité, une Europe des Coopérations dans laquelle chaque Etat-Nation sera souverain, une Europe qui soit utile à la grandeur, à la prospérité et à l'économie de la France. Ils proposent que dans le cadre d'une future révision constitutionnelle, le Titre XV de la Constitution française de 1958 relatif à l'Union européenne soit entièrement réécrit et simplifié afin de protéger notre souveraineté nationale. 

La baisse de l'impôt est l'une des idées fortes des Souverainistes car en 2023, la France est devenue championne d'Europe de l'imposition. Les Souverainistes défendent cette doctrine en réaction à la fiscalité confiscatoire du gouvernement progressiste de Monsieur Attal puisque la France est le pays ayant le plus de prélèvements obligatoires au sein de l'OCDE (995 milliards d'euros en 2023, soit 48% du PIB - un record mondial !) et le plus grand nombre de taxes (incluant 428 taxes et cotisations aussi diverses, iniques qu'abusives). Au nom de l'égalité, les Souverainistes veulent mettre fin à la progressivité de l'impôt, défendent la suppression du Code Général des Impôts et militent pour une fiscalité clarifiée autour de 3 impôts souverains : un impôt sur les sociétés à taux unique de 15% sur les bénéfices, un impôt sur le revenu à taux unique de 20%, une TVA généralisée à 5% (sur l'ensemble des produits et des services au lieu de 20%), en remplacement de la fiscalité confiscatoire et abusive défendue par le gouvernement Attal qui contribue à l'exil des capitaux, des talents et des grandes fortunes hors de France (les Français les plus fortunés résidant en Belgique, Suisse, Luxembourg, Etats-Unis en raison d'une fiscalité attractive, la diaspora française étant estimée en 2023 à 3 millions d'expatriés). Les Souverainistes militent aussi pour une réduction massive des niches fiscales (474 niches fiscales en 2023 qui coûtent aux Finances Publiques 90 milliards d'euros), pour la suppression de l'impôt de production des entreprises (la CVAE), pour une clarification des aides aux entreprises (2000 dispositifs différenciés à ce jour pour un montant annuel de 145 milliards d'euros). Les Souverainistes souhaitent par ailleurs que l'Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) qui taxe tout bien immobilier de plus d'1,3 millions d'euros, qui concerne 143 000 foyers fiscaux et qui a rapporté 1,5 milliard d'euros à l'Etat, soit définitivement supprimé. Les Souverainistes défendent aussi le droit à la propriété qui doit être sacralisé. L' accès à la propriété privée (seuls 6 Français sur 10 sont propriétaires) doit être soutenu, selon les Souverainistes, grâce à des prêts immobiliers à 1% et à la suppression de la loi SRU d'origine communiste du 13 décembre 2000 qui impose 25% de logements sociaux dans toutes les villes de plus de 1500 habitants (!!!), ce qui a favorisé la création de vastes ghettos islamiques et des Zones de Non-Droit (500 répertoriées à ce jour). Quant aux Saisies Administratives à Tiers Détenteur qui sont à l'origine des suicides des paysans, ils sont définitivement supprimées si les Souverainistes arrivent au pouvoir et gouvernent la France. Les Souverainistes militent pour le maintien d'une taxe foncière modeste (tant pour les propriétaires que comme pour les entreprises propriétaires) et pour rétablir l'universalité de la taxe d'habitation, aussi modeste soit-elle, car ces 2 taxes sont le seul moyen de connaître le nombre de propriétaires et de locataires en France mais aussi  parce qu'elles constituent des recettes indispensable à "la libre administration des collectivités territoriales" que sont les communes, les départements et les régions. Les Souverainistes plaident pour que cette taxe d'habitation soit indexée sur le m2 dans la limite de 12 000 euros/an pour les grands propriétaires fonciers. En ce qui concerne l'héritage et la transmission familiale des entreprises, les Souverainistes plaident pour une totale défiscalisation car rien n'est plus injuste que de priver les familles de la conservation d'une terre, d'une entreprise, d'une maison ou d'un appartement que leurs parents ou leurs grands-parents ont passé une vie de dur labeur à acquérir. Pour les Souverainistes, l'honnêteté et le travail doivent payer et le fruit du labeur des Français ne doit pas être dépensé par un Etat obèse, cupide, dépensier et inconséquent dans des dépenses publiques inutiles, abusives et ostentatoires. Les Souverainistes militent pour un plafonnement de la dépense publique à 20% du PIB. Quant à l'impôt sur le revenu, les souverainistes considèrent qu'il doit être payé par tous les Français et tous les étrangers vivant sur le territoire français (hormis pour les personnes sans emploi, les bénéficiaires du RSA et les couples français et mariés ayant 5 enfants ou plus) contrairement à aujourd'hui où seuls 43% des foyers français l'acquittent. Aujourd'hui, la France affiche la plus importante fonction publique d'Europe (6 millions de fonctionnaires français pour un coût global de 300 milliards d'euros) et l'administration la plus chère du monde (1300 milliards d'euros de dépenses publiques annuelles, soit 65% du PIB annuel) pour un résultat souvent contestable au vue de la déliquescence des services publics et de l'absentéisme persistant de milliers de fonctionnaires. Pour les Souverainistes, la mobilité entre les 3 fonctions publiques (Etatique, Hospitalière, Territoriale) doit être encouragée pour réduire le recrutement de nouveaux fonctionnaires. Quant à la dette publique française, elle présente une trajectoire inquiétante depuis 2017. En 2023, la dette publique française, au sens où l'entendent les accords de Maastricht, s'élève à 3100 milliards d'euros, ce qui représente l'équivalent de 45 600 euros par français. Depuis 2017, cette dette publique, en raison de la crise liée au COVID et des aides étatiques, a augmenté de 750 milliards d'euros en 7 ans et atteint 112% du Produit Intérieur Brut (PIB). Le Traité européen de Maastricht de 1993 avait tenté de limiter l'endettement des Etats-Membres de l'UE en fixant un déficit inférieur à 3% du PIB et une dette publique inférieure à 60% du PIB. Ces seuils répondaient à une logique mathématique et à une gestion financière saine. Laisser la dette publique s'accroître sans contrôle est dangereux du fait qu'une hausse des taux, liée à une perte de confiance des créanciers envers la France, rendra la dette de moins en moins soutenable. D'autant que 50% des détenteurs actuels de la dette publique française sont des créanciers étrangers (en particulier chinois). La politique du "chèque en blanc" et du "quoiqu'il en coûte" mène la France à la faillite en raison de l'explosion des dépenses publiques et des PGE (650 000 entreprises ont contracté un Prêt Garanti par l'Etat qu'elles peinent à rembourser) et d'une récession historique (le déficit public de l'Etat atteint 173 milliards d'euros, soit 9,4% PIB en 2023). Les Souverainistes plaident pour que, sur l'ensemble d'un cycle conjoncturel, le montant total des dépenses, que ce soit celles de l'Etat ou celles des collectivités locales, n'excède pas celui des recettes ; qu'un plan de remboursement de la dette publique soit mis en oeuvre (après un audit précis des créanciers de la dette française) , qu'un programme de simplification administrative soit enfin lancé avec la réécriture  d'un certain nombre de Codes et la suppression des lois les plus obsolètes . Dès lors, la baisse des dépenses publiques (qui représentent 58,2% du PIB en 2023), un moratoire sur le recrutement des fonctionnaires, le sérieux budgétaire, la refonte du Code du Travail (3500 pages à ce jour illisibles), la baisse drastique de la pression fiscale pesant sur les Français et sur les entreprises (233 taxes à ce jour) sont les seules solutions pour que la France retrouve sa prospérité et les Français le maintien de leur pouvoir d'achat. Car la dette publique,  le déficit de l'Etat, la pression fiscale, le coût du travail, l'opacité législative et la complexité normative pèsent dangereusement sur l'attractivité de la France et expliquent l'inquiétude légitime du peuple français, des entrepreneurs français et des élus. Seuls la baisse massive des impôts sur les entreprises et les ménages, la création de 2 millions d'emplois dans le secteur marchand (en 5 ans), l'arrêt total de l'immigration arabo-africaine ainsi que la rémigration massive des Islamistes exilés en France permettront à notre pays de retrouver le chemin de la croissance, de la sérénité et de la prospérité. 

La réforme de la Justice française vers plus d'équité et la concentration de l'Etat sur ses fonctions régaliennes sont deux enjeux prioritaires pour les Souverainistes. La justice française doit être rendue au nom du Peuple français et redevenir sagesse, vertu et éthique car les décisions des magistrats ne sont légitimes que si elles sont justes, morales, proportionnées et conformes au droit naturel, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui en France. Quant à l'Etat français, il est urgent qu'il redéfinisse ce qui relève de son action et ce qu'il peut déléguer, tout en restant le garant. Car l'obésité de l'Etat-Providence a entraîné une augmentation massive des impôts et des taxes, une fonction publique démesurée (5,8 millions de fonctionnaires) et une bureaucratie excessive. Les Souverainistes souhaitent à cet effet que le statut de Fonctionnaire soit interdit aux bi-nationaux (la bi-nationalité doit être urgemment supprimée) et réservé aux seuls agents responsables de missions régaliennes (Armée, Police, Diplomatie, Justice, Enseignement, Santé) et que la mobilité entre les 3 fonctions publiques (Etat, Hospitalière, Territoriale) soit encouragée et facilitée. Sur le droit de grève des fonctionnaires qui bénéficient de la sécurité de l'emploi, il doit être rationalisé et interdit durant les vacances scolaires. Quant au statut de Haut-Fonctionnaire, il doit être réservé uniquement aux Enarques et aux Grands Généraux. Sur le plan fiscal, il est à noter que les Français sont aujourd'hui le peuple le plus taxé au monde (1070 milliards d'euros par an) au nom d'un Etat technocratique qui semble fonctionner sur le tryptique "Emprunter, Dépenser, Taxer,". Les fonctions régaliennes recouvrent classiquement l'Armée, la Police, la Justice, la Diplomatie et la Monnaie. En ce qui concerne sa souveraineté monétaire, la France y a renoncé en 2002 en optant comme 19 Etats-Membres de l'Union européenne (qui forment la Zone Euro) pour la monnaie commune, l'euro et en confiant sa gestion à la Banque Centrale Européenne (BCE) de Frankfort. En usage sous sa forme scripturale le 1er janvier 1999, l'euro a été mis en circulation le 1er janvier 2002 sous sa forme fiduciaire. Destiné à faciliter le commerce européen, l'euro a entraîné inflation, spéculation et paupérisation des plus vulnérables. Tout en étant attachés à la monnaie commune l'euro qui existe depuis 20 ans, les Souverainistes militent pour une réforme de la BCE. Dès lors, il reste quatre missions régaliennes que l'Etat français se doit d'assurer auxquelles peut être rajoutée l'instruction publique car "l'organisation de l'enseignement public, gratuit et laïque à tous les degrés est un devoir de l'Etat." (article 13 de la Constitution de 1946) tout en respectant le choix des parents de faire appel à l'enseignement à domicile (via le CNED) ou à l'enseignement catholique (dont le recrutement et le projet éducatif doivent être catholiques). De ce point de vue, la revalorisation financière des 900 000 enseignants français devrait être une priorité du Gouvernement, tout professeur titulaire d'un Bac +5 et/ou d'une agrégation devrait gagner 2000 euros net/mois dès sa nomination sur la base de 35 heures/semaine (incluant heures de préparation, de correction et vacances scolaires). Sur le plan économique, l'Etat se doit d'assurer la régulation du marché par des décisions et des choix judicieux en favorisant une fiscalité modérée, la suppression des cotisations sociales et patronales sur l'ensemble des salaires publics comme privés, une simplification administrative, une réduction du mille-feuille administratif grâce au principe de subsidiarité car la France compte en 2023 13 régions, 101 départements, 21 métropoles, 1258 intercommunalités, 35 000 communes, 233 sous-préfectures, 580 partis politiques, 550 000 élus, 8000 agents sanitaires (ARS) et 1300 agences étatiques !!! Il est urgent de clarifier les domaines de compétence et la fiscalité locale des 3 collectivités territoriales (communes, départements, régions essentiellement) et de supprimer les commissions théodules, les intercommunalités, les EPCI et les métropoles qui sont extrêmement coûteuses en effectifs et en bureaucratie. De même, la loi PLM (1982) doit être abrogée et les habitants de Paris-Marseille-Lyon doivent pouvoir élire les Maires de ces 3 grandes villes au suffrage universel direct (A ce titre, les 20 arrondissements de Paris doivent avoir chacun un maire dédié). Par ailleurs,  la dématérialisation des procédures administratives doit être réduite car la dématérialisation est extrêmement coûteuse en électricité, en DataCenters et en climatisation. Tout service public doit maintenir un accueil physique et des agents en présentiel. Quant aux Secrétaires Générales de Mairie, maillon incontournable de la vie communale, elles doivent être recrutées sous statut contractuel ou fonctionnarial (catégories A ou B) et bénéficier d'un salaire attractif. En ce qui concerne l'Hôpital Public, les Souverainistes déplorent que 34% des postes soient confiés à des administratifs. Pour les Souverainistes, les médecins doivent bénéficier d'une autonomie budgétaire et d'une autonomie sanitaire en matière de prescription et de soins. Le concours de médecine doit être ouvert, sur concours, aux bacheliers scientifiques les plus brillants avant de s'orienter dans l'une des 5 voies de la santé (Médecine, Pharmacie, Dentaire, Maïeutique et Kinésithérapie). Les Souverainistes considèrent que les médecines non conventionnelles ne doivent pas être prises en charge par La Sécurité Sociale. En ce qui concerne la Défense nationale, les Souverainistes français plaident pour que l'Armée française assure la protection de notre territoire français et ultra-marin de manière déterminée, cette protection extérieure du territoire ne pouvant être conçue (pour l'instant) que dans un cadre élargi, occidentalisé et atlantiste. Car que pèse, malgré la qualité de nos Grands Généraux et fiers soldats et un budget conséquent (2% du PIB), la pauvre armée française seule dans un conflit international ? La présence de la France au sein de l'OTAN demeure pour l'instant nécessaire et le développement de la Francophonie, bras armé de notre diplomatie et de notre commerce avec ses 300 millions de francophones, indispensable. Les Souverainistes soutiennent aussi l'idée d'une politique étrangère équilibrée (via le développement de nos ambassades et nos alliances françaises) et la fin des opérations militaires extérieures (OPEX) déployées hors l'UE des 27 (hormis pour protéger nos ressortissants français) qui doivent être dorénavant confiées aux casques bleus ou à l'OTAN (30 états-membres). Les Souverainistes considèrent que tout accord bilatéral de sécurité (incluant un soutien militaire et financier) avec un pays extérieur à l'UE des 27 (Ukraine comprise) doit faire l'objet d'un vote et d'un accord solennel du Parlement. En ce qui concerne la sécurité, les Souverainistes militent aussi pour que la police nationale assure la police judiciaire, le renseignement territorial, la lutte contre le terrorisme, la lutte contre la grande criminalité, la lutte contre les narco-trafiquants et le maintien de l'ordre public tandis que la police municipale (qui devrait être obligatoire et armée dans les communes de plus de 10 000 habitants) soit  ré-orientée sur la sécurité des biens et des personnes au sein de chaque commune. Pour les Souverainistes, la prison doit être uniquement réservée à la grande criminalité, c'est à dire aux meurtriers, délinquants sexuels et trafiquants de drogue. Sur le plan judiciaire, les Souverainistes défendent l'assermentation des Magistrats français qui doivent rendre la Justice "au nom du Peuple français" et en toute impartialité, éthique et moralité, en prêtant serment sur la Bible (et en particulier sur le Nouveau Testament) comme dans nombre de pays occidentaux avant leur nomination et en s'appuyant sur le Droit (et seulement le Droit) en dehors de toute idéologie, politisation et syndicalisation. Les Souverainistes souhaitent d'ailleurs que soit interdit le Syndicalisme dans la magistrature comme c'est le cas pour le corps préfectoral et les armées françaises. Quant au Conseil Supérieur de la Magistrature, il doit être en mesure de casser des arrêts et des condamnations si les violations des règles de procédure sont manifestes, en cas de violation de la Loi du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l'enceinte d'un tribunal et en cas d'un manque flagrant de partialité de la part d'un Magistrat. Les Souverainistes plaident aussi pour un renforcement de la présomption d'innocence, pour l'interdiction des plaintes en ligne, pour la présence obligatoire d'un avocat dans le cadre de toute audition ou convocation policière, pour la sacralisation de la liberté de conscience, de la liberté d'opinion, de la liberté d'expression et par là-même pour l'abrogation immédiate de la loi du 29 juillet 1881 qui a légalisé, par ses scories successives (Loi Pleven de 1972, Loi Gayssot de 1990) le délit d'opinion, le délit d'injure, le délit de diffamation et la censure. Les Souverainistes militent enfin pour qu'aucun élu, humoriste, journaliste, éditorialiste, prêtre ou personnalité politique ne soit convoqué, arrêté, détenu, jugé et condamné à l'occasion de ses opinions politiques ou religieuses, ce qui exige une révision de l'article 26 de la Constitution française de 1958. Les Souverainistes soutiennent la loi du 30 septembre 1986 qui conforte la liberté de communication, la liberté éditoriale des médias et la pluralité médiatique des courants et opinions. Les Souverainistes veulent aussi que soit réintroduit le délit de blasphème dans le Code Pénal comme dans nombre de pays européens : ils refusent en effet que Dieu, Jésus, Marie, les Saints, et les apôtres soient injuriés publiquement dans les médias ou sur les réseaux sociaux et que tout acte de sacrilège dans les églises soit lourdement condamné. En France, c'est le Parlement (Députés et Sénateurs) qui a pour fonction de légiférer par le Droit. Or cette fonction est devenue dans la pratique une "anomalie productive" car le Parlement français produit beaucoup trop de lois, et parfois des lois immorales contraires à la loi naturelle et aux racines chrétiennes de la France. A cet effet, les Souverainistes militent pour l'abrogation de la loi Taubira (2013) sur le mariage homosexuel et l'homo-parentalité  et l'abrogation de la Loi Buzin (2021) qui a légalisé la PMA (sans père) aux femmes lesbiennes et aux femmes célibataires ainsi que la congélation des embryons . Légiférer efficacement n'est pas forcément relatif à la quantité de lois produites. Les Souverainistes militent pour réduire massivement l'inflation législative, réglementaire et normative (via la suppression d'un certain nombre de Codes) qui accable les Français et les entrepreneurs, pour que toute nouvelle Loi soit votée par un quorum minimal de 2/3 de Parlementaires - la France affichant le triste record d'avoir en 2023 70 codes, 11 000 lois, 127 000 décrets auxquels s'ajoutent 17 000 textes communautaires, ce qui entraîne une explosion des normes, des plaintes, des contentieux et des amendes abusives. Cette judiciarisation effrénée de la société française est à l'origine d'une multitude de condamnations iniques, injustifiées et abusives. C'est pour cette raison que les Souverainistes plaident pour une annulation/révision de toutes les décisions judiciaires prises durant la Dictature Sanitaire (2020/2022) car la plupart des procès orchestrés par des magistrats entièrement masqués, en violation de la Loi du 11 octobre 2010 qui interdit la dissimulation du visage dans l'enceinte d'un tribunal, ont été entachés d'illégalité. Combien de magistrats français, au lieu de dire le droit, de rechercher l'équité et la vérité des faits, agissent en militants politiques et violent délibérément les Droits de la Défense ? Trait marquant des sociétés progressistes, cette instrumentalisation politique de la Justice conduit à une grande iniquité juridique et à la condamnation scandaleuse de personnes (en particulier de personnalités politiques) parfaitement innocentes.

Pour les Souverainistes, la préservation de notre souveraineté énergétique et la protection de l'environnement sont parfaitement conciliables. A l'heure où les ravages de la pollution de l'air, de l'agriculture industrielle, de l'artificialisation des sols et de la déforestation massive mettent en péril la biodiversité française, il est évident qu'il faut prendre des mesures politiques volontaristes pour limiter l'impact négatif des activités de l'Homme sur son environnement (faune et flore) et en particulier de réduire l'utilisation des énergies fossiles (le charbon uniquement) qui sont des sources importantes d'émissions de gaz à effet de serre. Car comme le dit Saint-Exupéry, "nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres ; nous l'empruntons à nos enfants". Notons cependant que la Charte de l'Environnement de 2004 (qui fait partie du bloc constitutionnel) protège la biodiversité française et que la France est le pays le moins carboné au monde. Selon l'Agence Internationale de l'Energie, les émissions globales de la France ne représentent que 1% des émissions de carbone mondiales (28% pour la Chine et 14% pour les USA). Grâce à ses 56 réacteurs nucléaires, à la fermeture de ses usines à charbon et à son important parc hydraulique, l'électricité française est dé-carbonée à 99%. Les Souverainistes défendent donc le maintien du parc nucléaire français qui pèse 220 000 emplois et qui permet de garantir la souveraineté énergétique de la France car son démantèlement punitif (souhaité par les  écologistes radicaux) coûterait des milliards d'euros. Ils militent pour le prolongement de la durée de vie des réacteurs jusqu'à 60 ans et plaident pour la construction de 6 nouveaux réacteurs nucléaires de nouvelle génération, les EPR2. Le remplacement massif du nucléaire par des éoliennes comme le souhaitent, de manière irréaliste, les écologistes radicaux, provoquerait, selon eux, non seulement une augmentation des émissions de gaz à effet de serre mais également une perte de notre souveraineté énergétique. N'oublions pas que c'est la Chine qui fabrique 90% des équipements éoliens et photovoltaïques. Quel intérêt de lui confier un tel marché ? Rappelons qu'une centrale nucléaire produit une électricité sans émission de gaz à effet de serre ni CO2 (Dioxyde de Carbone). La préservation de l'environnement suppose aussi de ne pas défigurer les rivages et les paysages, de préserver la biodiversité, de développer la reforestation en milieu rural et urbain. Pour les Souverainistes, les coupes et les exportations massives de chêne français qui déciment nos forêts françaises doivent être stoppées (187 000 M3 de chêne français ont été exportés vers la Chine en 2021 !!!). L'ONF doit protéger les forêts et non les décimer par des coupes anarchiques et massives. En ce qui concerne la chasse traditionnelle et la pêche industrielle, les Souverainistes défendent un moratoire temporaire qui permettra de reconstituer les espèces car 30 millions d'animaux sauvages sont tués chaque saison et 5 millions sont blessés. Certains quotas de pêche industrielle sont totalement incompatibles avec la survie de certaines espèces marines. Attachés à la préservation de la faune, de la flore et de la mer, les Souverainistes s'opposent résolument à la construction des éoliennes qui détruisent la biodiversité, tuent chaque année 60 000 oiseaux et militent pour le démantèlement massif des 9000 éoliennes françaises (dont les plus récentes atteignent 240 mètres de haut (à titre de comparaison, la Tour Montparnasse atteint 210 mètres de haut)). Au delà du gouffre financier que représentent les éoliennes (il faudrait 3000 éoliennes pour remplacer la centrale nucléaire de Fessenheim !), le constat de leur efficacité énergétique et de leur impact sur la valeur des biens immobiliers (-40%) est accablant. A titre d'exemple, devant la Montagne Sainte-Victoire, 25 000 M2 de forêts ont été sacrifiés pour installer 22 éoliennes de 126 mètres de haut (l'équivalent d'une tour de 46 étages) sur 33 000 tonnes de béton armé en toute illégalité durant le confinement de 2020 malgré les pétitions de la population provençale. Les Souverainistes militent aussi pour l'interdiction des parcs photovoltaïques qui contribuent à l'artificialisation des sols et à la dénaturation des campagnes. En ce qui concernent les méga-bassines, les Souverainistes y sont totalement opposés. Ces méga-bassines artificielles et plastifiées qui s'étendent sur des superficies oscillant entre 8 hectares et 18 hectares sont une supercherie industrielle et environnementale. Elles ne se contentent pas seulement de recueillir les eaux de pluie mais de pomper les nappes phréatiques et les rivières. Elles sont défendues essentiellement par les producteurs de maïs pour nourrir leur bétail. Les Souverainistes militent pour l'élevage du bétail en plein air, pour les pâturages, pour des cultures adaptées aux climats régionaux, pour le développement des puits et des citernes agricoles destinées à recueillir les eaux de pluie. En 2023, grâce à des records de pluie, la France peut s'enorgueillir de nappes phréatiques rechargées et d'un indice d'humidité des sols particulièrement élevé. Pour les Souverainistes, les Français doivent désormais faire l'apprentissage d'une consommation énergétique vertueuse. Les Souverainistes défendent enfin l'obligation du recyclage, l'accès gratuit aux décharges publiques 7j/7, 24h/24, l'interdiction des décharges sauvages dans la lignée des promoteurs de l'économie circulaire qui prônent le "produire propre". Ils soutiennent le développement des véhicules hybrides (avec un moratoire sur les stations de recharges électriques (il y en a plus de 100 000 en France) tout en défendant résolument le maintien du parc automobile existant à moteur thermique (hors diésel ancien) qui concernent 40 millions d'automobilistes car les voitures électriques s'avèrent particulièrement coûteuses, lourdes, inflammables, énergivores et fortement consommatrices en métaux rares (aluminium, cuivre, lithium, cobalt et graphite). Les Souverainistes militent pour l'interdiction des ampoules LED (diodes électro-luminiscentes) supérieures à 500 lumens en raison de leurs risques occulaires. Les Souverainistes soutiennent nos entreprises pétrolières et veulent le maintien de l'avion thermique tout en prêtant une attention soutenue aux innovations promises par l'avion propulsé par hydrogène. Enfin, les Souverainistes plaident pour que tous les barrages hydrauliques français soient nationalisés et qu'ils ne soient pas mis en concurrence comme le préconise de manière irresponsable la Commission européenne. L'hydro-électricité est en effet une énergie renouvelable à bas coût, non émettrice de gaz à effet de serre et qui représente plus de 60% des énergies renouvelables et 8% du mix électrique en France. Il est primordial de protéger ce patrimoine industriel national qui garantit en grande partie notre souveraineté énergétique. Il est essentiel enfin qu'EDF demeure une entreprise publique à 100% et retrouve son unité industrielle globale (de la production à la distribution) afin que les prix de l'électricité restent bas et réglementés (42€ le MWH et non 70€ !!!). A cet effet, les Souverainistes militent pour la suppression immédiate de l'ARENH (Accès Régulé au Nucléaire Historique) qui impose à EDF de vendre de l'électricité à bas coût à ses propres concurrents. Il est aussi capital que toutes les lignes EDF soient enterrées pour éviter qu'à chaque tempête les pylônes soient renversés. Pour les Souverainistes, le mix énergétique souverain doit se fonder principalement sur l'eau, le soleil et l'atome - triptyque idéal qui permet d'avoir une électricité entièrement dé-carbonée sans oublier le gaz (russe). Cette répartition réaliste s'appuyant sur le nucléaire (75%), le solaire (8%), l'hydraulique (12%), et le gaz (ce qui suppose la fin des sanctions internationales sur le gaz russe) et sur le démantèlement massif des 9000 éoliennes existantes (qui représente 4% de l'énergie en France) est le seul moyen d'atteindre la neutralité carbone en 2050 fixée par l'Accord de Paris sur le Climat. Quant à la Loi Climat et Résilience du 22 août 2021 axée sur la réduction du nucléaire à 50%, le développement outrancier des éoliennes, l'interdiction de louer des appartements anciens (qualifiés de "passoires thermiques" par le DPE (Diagnostic de Performance Energétique) soit 8,5 millions de logements privés de leur valeur commerciale réelle) et la suppression des voitures à moteur thermique en 2035, elle doit être, selon les Souverainistes, entièrement abrogée tant elle est stupide, coûteuse et irresponsable. En ce qui concerne le changement d'heure instauré (stupidement) en 1976, les Souverainistes plaident pour le maintien de l'heure d'été tout au long de l'année (pour profiter au maximum de la lumière du jour) car cette pratique controversée perturbe la santé des personnes comme de l'élevage.

Pour les Souverainistes, la Famille est la cellule de base de la société et elle a besoin d'un environnement favorable et d'une authentique politique nataliste pour s'épanouir. La natalité française ne peut se développer que dans une France sereine, apaisée et optimiste. Pour les Souverainistes, la protection de la famille , de la jeunesse, des enfants et la reconnaissance constitutionnelle de la filiation père-mère-enfant constituent 2 priorités majeures. Contrairement aux écologistes radicaux et aux progressistes qui militent pour la décroissance, la dénatalité, l'homo-parentalité et l'encouragement à l'avortement, les Souverainistes défendent les principes fondamentaux de l'écologie humaine : non-marchandisation du corps humain, refus de l'euthanasie, reconnaissance de l'altérité sexuelle H/F, interdiction des manipulations embryonnaires, dénonciation de l'idéologie du genre, primauté des droits de l'enfant sur les caprices des adultes. Ils militent à cet effet pour la création d'un Grand Ministère de la Famille et de l'Enfance et d'un Secrétariat d'Etat dédié à la Jeunesse dotés de moyens renforcés. En France, comme dans la plupart des systèmes juridiques occidentaux, les parents ont un devoir de protection et d'éducation envers leurs enfants. Ce sont les parents qui doivent éduquer leurs enfants et non l'école ou l'Etat. L' école a la charge d'instruire les enfants mais nullement de les éduquer ou de les idéologiser à travers la propagande du Genre et du LGBTisme qui fait des ravages chez les adolescents. Selon le Code civil français, "l'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l'intérêt de l'enfant. Elle appartient aux parents jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne" (Article 371.1 du Code Civil). L'instruction scolaire et l'éducation parentale - qui doit être à la fois morale, intellectuelle, culturelle et sportive - sont donc les clés pour que les petits Français deviennent des citoyens souverains, épanouis et respectueux de la Nation française. Pour les Souverainistes, la méritocratie éducative est le fer de lance de la souveraineté nationale et la protection infantile ne devrait pas cesser à 18 ans, à la fin de la minorité. Les parents ou l'Etat (pour les orphelins) devraient avoir une obligation alimentaire envers leurs enfants jusqu'à leurs 21 ans révolus, jusqu'à ce qu'ils acquièrent une autonomie financière et professionnelle. Il est d'ailleurs à noter que 1,6 million de jeunes Français et en particulier les descendants d'immigrés (de 16 à 29 ans) ne sont aujourd'hui ni en études, ni en stage, ni en emploi, ni en formation, ce qui prouve l'urgence d'une réforme de l'enseignement secondaire, de la valorisation de l'apprentissage et de la notion de travail. Le travail doit être valorisé et non l'assistanat. A cette fin, l'Etat français ne devrait intervenir pour soutenir les familles pauvres et vulnérables qu'en cas d'absolue nécessité et sans se substituer à elles. C'est seulement en cas de danger grave et immédiat pesant sur l'enfant mineur qu'une mesure judiciaire pourra être prononcée par le Juge aux Affaires Familiales (après une enquête approfondie), le droit de l'assistance éducative étant conçu pour venir au secours d'enfants dont les parents sont maltraitants et non pour multiplier les placements abusifs au sein de l'Aide Sociale à l'Enfance. A ce jour, 330 000 enfants sont pris en charge par l'Aide Sociale à l'Enfance (dont 260 000 descendants d'immigrés et 40 000 étrangers dits "Mineurs Non Accompagnés" dont la plupart sont majeurs) gérée par les Départements pour un montant annuel de 8 milliards d'euros et 1/4 de ses enfants placés à l'ASE deviennent SDF à 18 ans, ne disposant d'aucun diplôme, d'aucun domicile, d'aucun revenu. Les Souverainistes veulent à cet effet que tous les enfants placés à l'ASE bénéficient du RSA jusqu'à leurs 21 ans révolus. Quant aux parents démissionnaires, qui ne remplissent pas leurs responsabilités morales et éducatives, ce sont eux qui devraient être sanctionnés d'une amende délictuelle tandis que le mineur délinquant devrait être placé dans un Centre Educatif Fermé (CEF) car la majorité pénale doit être maintenue à 18 ans - la place d'un mineur n'étant ni en garde à vue ni en détention sauf en cas de vol, viol ou homicide avéré. Les Souverainistes militent à cet effet pour que la minorité soit reconnue dans la Constitution française avec le rajout d'un article constitutionnel qui précisera que : "Une personne est mineure jusqu'à ses 18 ans accomplis" et pour un alignement de toutes les majorités (majorité sexuelle, majorité civile, majorité professionnelle, majorité matrimoniale, majorité pénale, majorité numérique, majorité électorale, majorité élective) à 18 ans car pour les Souverainistes, un Mineur reste un Mineur jusqu'à ses 18 ans révolus. Les Souverainistes entendent donc protéger la natalité française et la famille traditionnelle (Père, Mère, Enfant) contre tous ceux qui cherchent à la déstabiliser par des lois immorales, contraires à la loi naturelle (cf. Loi Bioéthique 2021). Opposés à l'éducation sexuelle obligatoire à l'école dès l'âge de 3 ans  (Cette loi de 2001 visant à sexualiser les enfants doit être entièrement abrogée), à la légalisation de la PMA sans père, de la GPA sans mère, à la promotion du LGBTisme défendus par le Gouvernement ATTAL, les Souverainistes militent pour la dissolution des associations LGBT qui défendent ces pratiques et qui interviennent au sein des établissements scolaires et des institutions républicaines (CESE, HCE, CCNE...). Les Souverainistes sont opposés au SNU (Service National Universel) axé sur la militarisation des mineurs (coût : 1 milliard d'euro/an). Ils sont attentifs à la vulnérabilité des personnes handicapées qu'ils souhaitent soutenir par une allocation digne et équitable (d'un montant équivalent au RSA). Quant aux SDF (300 000 en France en 2022) ils souhaitent qu'ils puissent bénéficier du RSA et que des habitats sociaux leur soient dédiés prioritairement (studio de 20m2 au prix de 200 euros/mois en périphérie des grandes villes) et que les délits de Clandestinité, de Mendicité et de Sans-Abrisme soient légalisés. Les Souverainistes sont soucieux de soutenir les familles pauvres et vulnérables (10 millions de pauvres en 2023 en France), ils défendent un SMIC à 1300 euros net par mois et un minimum vieillesse (ASPA) à 1000 euros net par mois accessible dès 60 ans pour les plus pauvres. Ils souhaitent mettre en place, en échange d'un Revenu de Solidarité Active (2,5 millions d'allocataires du RSA en 2023 en France dont 70% sont immigrés ou descendants d'immigrés) à 600 euros net/mois, un engagement concret de 12 heures/semaine dans le bénévolat associatif car tout revenu mérite travail et tout travail mérite revenu. Les Souverainistes veulent aussi que soit interdite toute expulsion d'un bénéficiaire du RSA (français) résidant dans un logement social. Ils militent aussi pour que les donations, héritages, successions et transmissions familiales d'entreprise soient entièrement dé-fiscalisées comme dans nombre de pays européens. Aujourd'hui, la France affiche le taux d'imposition sur les successions le plus élevé de tous les pays européens : l'Etat français peut en effet prendre jusqu'à 60% d'impôt sur l'héritage familial, ce qui est parfaitement scandaleux. Les Souverainistes soutiennent aussi la FAMILLE à travers la promotion du mariage et de la famille traditionnelle (père, mère, enfant) et militent pour le doublement du plafond du quotient familial. En ce qui concerne la natalité française (678 000 bébés nés en France en 2023, soit le taux de natalité le plus bas enregistré en France depuis 1946), les Souverainistes souhaitent la relancer par des mesures volontaristes car avec 1,67 enfant par Française, le renouvellement des générations n'est plus assuré.  Les Souverainistes plaident ainsi pour que les parents français et mariés ayant 5 enfants et plus ne paient aucun impôt. Pour réduire le nombre d'avortements pratiqués en France (234 000 avortements en 2022 (soit 7% de plus qu'en 2021) en raison de la Loi Veil du 17 janvier 1975 qui a dépénalisé l'avortement), les Souverainistes souhaitent que la clause de conscience des médecins soit inscrite dans la Constitution française, que l'enfant à naître soit perçu comme une chance et non comme une charge, que les Françaises bénéficient d'une allocation familiale dès la naissance du 1er enfant, que le congé maternité dure 1 an comme au Danemark (avec un salaire maternel plafonné) et que le congé parental rémunéré au SMIC (à mi-temps, temps partiel ou temps complet) puisse être pris par le père ou la mère jusqu'aux 3 ans de l'enfant (date de la scolarisation obligatoire en maternelle) car les Souverainistes savent que le développement de la natalité française passe par le soutien financier aux mères, par la promotion de la maternité heureuse et par l'arrêt de toute promotion publique, sanitaire et médiatique de l'avortement (Les Souverainistes sont bien sûr opposés à "la constitutionnalisation de l'avortement" défendue par le Gouvernement ATTAL). En ce qui concerne les aides sociales et les allocations familiales (RSA, ARS, APA, AAH, ASS, ASPA, APL...) qui pèsent 34% du PIB, elles devraient, selon les Souverainistes, être réduites (4 au lieu de 60 !!!), accordées uniquement aux Nationaux Français et non aux étrangers ou aux bi-nationaux. Sachant qu'une grande partie des agressions sexuelles a lieu dans la sphère de l'intimité familiale, les Souverainistes plaident pour la légalisation d'un âge de consentement sexuel à 18 ans (et non à 15 ans comme aujourd'hui en France) et pour la criminalisation de l'inceste, de la pédophilie et du viol. Les Souverainistes militent pour que toute personne déposant plainte pour viol soit munie d'une attestation gynécologique en bonne et due forme, garantie de preuve flagrante et d'un procès équitable. Ce qui fait Famille demeure, pour les Souverainistes, le lien génétique et juridique qui unit les membres d'une même famille biologique. Ils s'opposent donc résolument à la légalisation de la PMA sans père, de la GPA sans mère, de l'euthanasie, et des manipulations embryonnaires et foetales défendues par le Gouvernement ATTAL. Ils souhaitent faire interdire l'intervention des associations LGBT à l'école ainsi que l'enseignement de la théorie du genre et du LGBTisme dans les écoles, collèges, lycées et universités françaises. Ils militent pour que toute promotion de l'anorexie, de la boulimie, du LGBTisme, de l'avortement et du suicide (en particulier sur les réseaux sociaux) soit strictement interdite. Ils souhaitent aussi l'abrogation urgente de la Loi Bioéthique de 2021, l'interdiction de la marchandisation des gamètes, l'encadrement de l'IA (Intelligence Artificielle) et la fin de la propagande en faveur du trans-humanisme. En ce qui concerne la politique publique de santé, ils souhaitent que la France retrouve sa pleine souveraineté sanitaire en quittant l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Ils veulent que soit aboli le "numerus clausus" et que tous les médecins français et étrangers (après obtention du EVC - Vérification des Connaissances Médicales) signent le Serment d'Hippocrate avant d'exercer leur profession. Ils souhaitent que tous les Français majeurs des 2 sexes obtiennent, dès l'âge de 18 ans, leur Carte de Sécurité Sociale (Carte Vitale) et ne soient affiliés qu'à un seul et unique régime national de Sécurité Sociale afin que les soins de santé soient intégralement remboursés. Quant à la vaccination des enfants, ils souhaitent revenir à 4 vaccins pédiatriques obligatoires (sans aluminium) pour l'entrée à l'école maternelle à 3 ans et non à 11 vaccins comme aujourd'hui imposés par la Loi Buzyn (Il faut que rappeler que la submersion migratoire venue de pays-tiers entraîne des risques sanitaires accrus). A ce titre, les Souverainistes militent pour que soient définitivement interdits en France le vaccin contre l'Hépatite B ainsi que le vaccin GARDASIL (Vaccin contre le Papillomavirus - dit Vaccin HPV) car il n'a jamais fait la preuve de son innocuité ainsi que la chirurgie trans-sexuelle (ablation irréversible des organes sexuels) tant pour les mineurs que pour les adultes. En ce qui concerne le PASS vaccinal, le PASS sanitaire, le TEST nasal, le MASQUE Facial et le Vaccin Anti-COVID, les Souverainistes souhaitent qu'ils soient strictement interdits en France, en Corse et dans les Outre-Mer.

L'inscription des racines chrétiennes de la France dans la Constitution française est l'un des souhaits majeurs des Souverainistes. La France, fille aînée de l'Eglise catholique depuis 2000 ans (depuis l'arrivée de Marthe, Marie-Madeleine et Lazare en l'an 43 à Marseille) demeure le berceau de la chrétienté européenne, l'un des premiers pays à avoir embrassé la religion catholique. Le Christianisme est devenu ensuite religion d'état en France en l'an 392 après Jésus-Christ. Durant des siècles, la France s'est ainsi affirmée comme la Grande Nation Chrétienne de l'Occident avec ses 100 diocèses répartis sur tout le territoire et ses 7200 établissements catholiques. C'est d'ailleurs en France que le Pape Urbain V appelle en 1095, à Clermont-Ferrand, les Français aux Croisades pour délivrer la Terre Sainte d'Israël de l'occupation ottomane. Et c'est un Français, Godefroy de Bouillon, qui après chassé les Ottomans de la Sainte Ville de Jérusalem, deviendra le Premier Souverain Franc du Royaume de Jérusalem. C'est aussi en France que se développent l'Art roman et l'Art gothique. C'est en France que se déploie le "blanc manteau" des 100 000 édifices catholiques dont 42 000 églises, 77 cathédrales gothiques, 270 monastères et une multitude de chapelles, d'abbayes, de collégiales, de cloîtres, d'abbatiales et de calvaires consacrés au culte de notre Seigneur Jésus Christ et de la Sainte Vierge Marie. C'est en France que se dresse fièrement au sein de chaque village le clocher d'une église. Terre de prédicateurs et de missionnaires, de fondateurs d'ordres et de célèbres théologiens, la France, depuis 20 siècles, peut s'enorgueillir d'avoir offert au monde le plus grand nombre de Saints et de Saintes (plus de 2000), de Bienheureux et de Mystiques ayant été canonisés par les Papes successifs. De ce point de vue, la création depuis 2017, sous la pression de la Macronie, de la CRCF (Conférence des Responsables des Cultes en France) a toujours été considérée par les Catholiques de France comme une véritable provocation car elle vise à considérer le catholicisme comme une religion mineure par rapport aux 6 autres cultes (Franc-Maçonnerie incluse). De même, le régime oeucuménique d'Alsace-Moselle (qui s'est totalement éloigné du Concordat originel de 1801 signé entre Napoléon et l'Etat pontifical du Vatican) a évolué bizarrement pour fonctionnariser les ministres de 4 cultes (catholique, réformé, luthérien, israélite) qui n'ont strictement rien en commun. Quant à la Loi sur la Séparation des Eglises et de l'Etat de 1905 qui consacre la laïcité et l'indépendance de l'Eglise catholique, elle n'a nullement remis en cause la prééminence du Catholicisme qui demeure la religion de la majorité des Français et des Françaises (avec ses 44 millions de baptisés) et du monde (avec ses 2,3 milliards de fidèles catholiques). Il aura d'ailleurs fallu l'incendie criminel de la cathédrale catholique de Notre-Dame de Paris le 15 avril 2019 pour que les Français et les Françaises prennent conscience, dans cette vague d'émotion collective, que les cathédrales et les églises françaises n'avaient pas été édifiées dans un but patrimonial, artistique ou touristique mais qu'elles traduisaient la ferveur du peuple français à témoigner de son ardente foi catholique. D'ailleurs, combien de Te Deum ont été chantés à Notre-Dame-de-Paris en guise de gratitudes et d'actions de grâce ? Aussi, la MATRICE progressiste, LGBTiste, maçonnique et résolument oeucuménique du gouvernement ATTAL n'a jamais convaincu les Français et les Françaises qui demeurent conservateurs sur la question des moeurs et résolument attachés aux racines chrétiennes de la France. Ils savent intimement que c'est au Christianisme que la France est ce qu'elle est devenue puisque c'est le Christianisme qui a inspiré sa devise nationale, sa conception de l'égalité H/F, de la sacralité de l'enfant, de la civilité et de l'amour courtois, de la construction de ses plus beaux monuments, de l'édification de ses Arts et de ses Lettres, de la formation de ses traditions et de ses coutumes et de la majorité de ses prénoms. Quant au calendrier français, il est souverainement catholique avec ses 10 jours fériés dont 7 sont dédiés aux fêtes cardinales (Noël, Epiphanie, Pâques, Ascension, Pentecôte, Assomption et Toussaint). Le Christianisme est même à l'origine d'une laïcité bien comprise en établissant une juste distinction entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel : "Il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu" dit l'adage biblique. Si d'autres cultes cohabitent au sein de la communauté nationale, ils se doivent de rester discrets et minoritaires. Car la 5ème République est laïque mais la France demeure, depuis le baptême de Clovis à Reims en l'an 496, une Nation Chrétienne et la fille aînée de l'Eglise catholique. Aucune autre religion que le catholicisme n'a acquis une telle préséance dans le coeur des Français et des Françaises. Les Souverainistes sont donc pleinement attachés à défendre les racines chrétiennes de la France, à vouloir inscrire ces racines chrétiennes dans la Constitution française et à protéger, par des restaurations appropriées (via le Centre des Monuments Nationaux et la Fondation Notre-Dame) le patrimoine chrétien et historique de la France chrétienne (cathédrales, églises, monastères, évêchés, abbayes et châteaux en priorité). Ils militent aussi pour que la Présidence de la République française, du Conseil constitutionnel, du Sénat, de l'Assemblée Nationale, le Premier Ministre et l'ensemble des magistrats prêtent serment sur la Bible (sur le Nouveau Testament plus exactement) comme dans nombre de pays occidentaux avant d'exercer leur mandat électif. Enfin, ils veulent que soit insérée au sein de l'article 2 de la Constitution française de 1958 une incise précisant que "la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de la majorité des citoyens français". Il ne s'agit nullement d'instaurer une théocratie chrétienne mais de légaliser un bouclier constitutionnel afin de stopper l'oecuménisme (voire l'athéisme) encouragé par la gouvernement ATTAL, la bi-nationalité des élus ainsi que l'islamisation des banlieues françaises. Il s'agit aussi d'imposer, par cette incise constitutionnelle essentielle, des personnalités obligatoirement catholiques à la tête de la Présidence de la République française, du Gouvernement, de l'Assemblée Nationale, du Sénat, du CESE, de l'Etat-Major des Armées, des Ministères et des 5 Cours Suprêmes (Conseil Constitutionnel, Conseil d'Etat, Cour de Cassation, Cour des Comptes et Cour d'Assises).

La méritocratie éducative, l'excellence sportive et la souveraineté culturelle sont des enjeux clés pour les Souverainistes. Rappelons la citation de Du Bellay, "la France, mère des arts, des armes et des lois" qui explique que, pendant des décennies, notre Nation s'est perçue comme une authentique "éducatrice des peuples" de part sa créativité artistique, sa combativité légendaire et son arsenal juridique. Au delà de flatter le chauvinisme hexagonal, cette singularité culturelle qui caractérise notre pays ne peut se développer que si le Ministère de la Culture, par une volonté permanente en tant que mécène, soutient la création française, les artistes français et protège les spécificités artistiques de la France par rapport aux autres pays d'Europe, voire du monde. La souveraineté culturelle désigne aussi la fierté de notre pays à revendiquer la beauté d'une langue emblématique (le français) et à affirmer une authentique audace artistique, que ce soit dans les domaines de la littérature, du cinéma, de l'architecture, du théâtre, de la musique, de la peinture, de la poésie, de la photographie, voire de la chanson qui est loin d'être un Art mineur. Cette souveraineté culturelle est revendiquée par les Souverainistes en réaction aux Progressistes qui défendent "la réécriture de l'Histoire de France", l'écriture inclusive et semblent aveugles au génie culturel national ("Il n'y a pas de culture française" affirme E.Macron). Or, quand la culture se fane, c'est notre humanité qui se racornit. Quand le langage s'appauvrit, c'est la pensée qui s'affaiblit. Attachés à la souveraineté culturelle, les Souverainistes défendent la mise en place de dispositifs législatifs et réglementaires concernant la protection de la création cinématographique française visant à la protéger des règles commerciales de libre-échange. Ils militent aussi pour le doublement du nombre d'ABF (Architectes des Bâtiments de France) afin de mieux protéger et restaurer le patrimoine culturel et religieux français en péril.  Cette doctrine protectionniste repose sur l'idée que la création et le patrimoine culturels ne constituent pas des biens marchands et que, par conséquent, leur commerce doit être protégé par certaines règles autres que la seule loi du marché capitalistique. Pour les Souverainistes, ces mesures de protection doivent être étendues à tous les domaines culturels : la littérature, la musique, le cinéma, le patrimoine, les arts et la chanson. Des quotas visant à diffuser la création française sur les chaînes TV et les radios publiques doivent être mis en place pour limiter la diffusion des séries ou des chansons américaines qui se caractérisent par une violence parfois insoutenable. La Fête de la Musique, la Fête du Cinéma, la Fête du Livre, la Fête de la Poésie, les Journées du Patrimoine... doivent être l'occasion de mettre en valeur la créativité française. Mais le développement de financements privés à travers le mécanisme du mécénat, les dotations privées et les exemptions fiscales est aussi un bon moyen de démocratiser la culture, de soutenir la création artistique, de restaurer notre patrimoine religieux et artistique (châteaux, cathédrales, églises, chapelles, évêchés et monastères en priorité). Si les Souverainistes défendent la culture française, c'est qu'elle est aussi un secteur économique non négligeable comme le prouve l'extraordinaire industrie cinématographique française et le tourisme français qui accueille chaque année 90 millions de visiteurs par an. Reconnaissons enfin que la souveraineté culturelle est un trait spécifique de l'identité nationale française qui contribue à la grandeur, à la notoriété et à la fierté de la France.  Cette souveraineté culturelle ne peut s'épanouir que grâce à un enseignement de qualité fondé, dès le collège, sur la connaissance des arts et de la littérature françaises, sur le développement des bibliothèques et des librairies, sur la valorisation de la méritocratie et de l'équité de traitement et non sur la "médiocratie" et la discrimination positive (promouvant les étrangers au lieu des nationaux) chères à la Macronie. De ce point de vue, les Souverainistes militent pour que le Ministère de l'Education Nationale soit renommé Ministère de l'Instruction Publique, que les écrans et les portables soient interdits à l'école, au collège et au lycée car ils sont à l'origine de la chute du niveau scolaire, de la déconcentration des élèves, de l'affaiblissement de la calligraphie et du vocabulaire, et du harcèlement numérique. De même, le "zéro écran avant 16 ans" et le "zéro réseaux sociaux avant 18 ans" doivent être pérennisés auprès des parents et des enseignants car le temps passé sur les écrans (et en particulier sur les réseaux sociaux) nuit à la santé mentale, occulaire et physique de la jeunesse, a des impacts négatifs sur le développement intellectuel, la concentration scolaire et entraîne des addictions maladives chez les mineurs. L'interdiction des téléphones portables dans les établissements scolaires (école, collège, lycée) et l'accès des seuls majeurs aux réseaux sociaux permettraient de mettre fin au harcèlement numérique qui génère chaque année dépressions et suicides chez de nombreux adolescents. En ce qui concerne le brevet des collèges (fin de 3ème) et le baccalauréat qui demeure le 1er grade universitaire français, ils doivent retrouver leur sélectivité. Avant 1985, seuls 4 Français sur 10 obtenaient un Baccalauréat général, les autres s'engageant à l'issue de la 3ème vers l'apprentissage (CAP) ou vers un Baccalauréat professionnel. Entre 1960 et 2020, les effectifs des Universités françaises sont passés de 310 000 étudiants à 2 600 000 étudiants (dont énormément d'étrangers non-européens), ce qui n'est pas soutenable. Avec 73 milliards d'euros et 1,3 millions d'enseignants et d'agents pour 12 millions d'élèves,  les budgets du Ministère de l'Education Nationale et de l'Enseignement Supérieur pèsent 14% du PIB. Malgré ces sommes considérables, le niveau scolaire des écoliers Français ne cesse de baisser et 7% des adultes sont illettrés. Les Souverainistes militent ainsi pour une réforme du Conseil Supérieur des Programmes et pour que les 4 savoirs fondamentaux (lire, écrire, compter, bien s'exprimer oralement) soient parfaitement maîtrisés avant l'entrée des écoliers en 6ème, ce qui suppose l'obligation d'un manuel scolaire unique certifié pour les élèves comme pour les professeurs. Ils plaident aussi pour que la calligraphie soit obligatoire à l'école primaire afin de retrouver la beauté graphique des écritures d'antan. Les Souverainistes défendent le maintien de 3 modèles d'instruction : école publique, instruction à domicile (via le CNED), école privée catholique (qui doit être catholique dans son recrutement et son projet éducatif) et souhaitent que le Chef d'établissement (au sein des écoles, collèges, lycées, Universités et Grandes Ecoles) puisse avoir une souveraine autonomie en matière de recrutement, de licenciement, de gestion du personnel, d'exclusion d'élèves délinquants et que les mutations obligatoires des professeurs soient bannies. Les Souverainistes plaident enfin pour que les filières L,S,ES,T de terminale soient restaurées, que tout élève de seconde soit détenteur du Certificat Voltaire qui atteste d'un bon niveau d'orthographe et d'expression écrite, que la période scolaire s'échelonne du 1er septembre au 30 juin inclus (avec 13 semaines de vacances scolaires), que l'âge de l'obligation scolaire soit maintenu jusqu'aux 16 ans de l'adolescent (car beaucoup d'élèves sont totalement inadaptés aux exigences du lycée qu'il soit public ou privé, général ou professionnel). Enfin les Souverainistes militent pour que la méthode globale, l'éducation obligatoire à la sexualité, la théorie du genre, l'idéologie LGBT, la SVT, le débraillé vestimentaire, les vêtements folkloriques (tenues islamiques inclues) et l'écriture inclusive soient strictement interdits dans les écoles, collèges, lycées et universités françaises. Ils veulent aussi que le dédoublement des classes dans les ZEP (Zones d'Education Prioritaires majoritairement islamisées)  et que les classes multi-niveaux soient supprimés car ils sont particulièrement coûteux et n'ont pas fait la preuve de leur efficacité. En ce qui concerne le Sport, les Souverainistes militent pour que chacun enfant pratique un sport en amateur ou mieux en compétition, que les infiltrations islamiques dans les associations sportives, les clubs de supporters et les fédérations sportives soient mieux contrôlées et que l'Agence Nationale du Sport ait pour unique ambition de repérer des talents sportifs dès le plus jeune âge (7 ans), de financer les fédérations sportives, de promouvoir le sport en compétition, de rémunérer les futurs champions olympiques (en particulier les plus pauvres) en vue d'une préparation et d'une réussite optimales aux Jeux Olympiques d'Hiver comme d'Eté.  Il est urgent et capital que la France redevienne une Grande Nation Sportive et que notre Nation excelle dans tous les sports qu'ils soient individuels ou collectifs. De ce point de vue, les Souverainistes militent pour la création d'un nouveau label : "Villes et villages sportifs" sur le modèle du label "Villes et villages fleuris".

Le maintien de notre souveraineté alimentaire, agricole et halieutique est l'une des ambitions majeures des Souverainistes. Les attentes des Français et des Françaises dans le domaine de l'alimentation n'ont jamais été aussi fortes en ce début du XXIème siècle car une nourriture bonne, goûteuse et saine est le gage d'une belle santé et d'une grande longévité. Traçabilité des produits, développement des circuits courts, qualité nutritionnelle des aliments, les exigences des consommateurs sont de plus en plus grandes. Malheureusement, en s'ouvrant au libre-échange et à sur-industrialisation, l'agriculture française s'est vue concurrencer par des pays-tiers à bas-coût et nos importations ne cessent de s'accroître depuis 2017. 70% du soja, 60% des fruits, 50% des volailles, 40% des légumes, 25% de la viande bovine sont actuellement importés de pays-tiers qui ne respectent pas les normes sociales, sanitaires et environnementales imposées aux agriculteurs français et en particulier de l'Ukraine qui exporte (sans aucun droit de douane) ses céréales, poulets industriels, OGM, oeufs et sucre. Bien que seulement 5% de la surface agricole française soit irriguée, le Ministre de l'Agriculture continue d'interdire le stockage de l'eau pluviale en puit ou en citerne pour lutter contre les sécheresses et privilégie la construction de MégaBassines surdimensionnées et anti-écologiques (240 000 m2 pour la Mégabassine de Mauzé dans le département des Deux Sèvres !!!)  - méga-bassines auxquelles sont totalement opposés les Souverainistes qui veulent les démanteler et les interdire sur le sol français. Quant au coût du travail, des taxes et de l'impôt de production qui pèse sur les agriculteurs (et qui représente 60% du coût final du produit), il est le plus élevé de l'Union européenne et explique qu'entre 1983 et 2021, la France a perdu 50% de ses vaches laitières (soit 4 millions de bêtes). Ce coût salarial et fiscal explique aussi que 50% des contrats saisonniers (1 million par an) soient confiés à des travailleurs saisonniers maghrébins. Si rien n'est fait, la France qui était en 2021, avec 74 milliards d'euros de produits agricoles le 1er producteur agricole, bovin et viticole européen et le 2ème producteur européen de lait, beurre, fromages et aquaculture ne sera plus capable de subvenir à ses besoins alimentaires en 2025. Car après avoir perdu des milliers de fermes depuis des décennies (en 1950, il y avait 2,5 millions d'exploitations, en 2010 : 490 000 et en 2024 : 390 000), la France se doit de renouveler chaque année 90 000 exploitants agricoles partant à la retraite (215 000 exploitants agricoles pourront faire valoir leurs droits à la retraite en 2026).  Quant à notre excédent commercial agricole, il ne subsiste que grâce à l'excellence de nos vins et nos spiritueux (en particulier le Champagne, le Bourgogne et le Bordelais). Garantir notre souveraineté alimentaire et agricole suppose des choix politiques cohérents et une réforme de la PAC (Politique Agricole Commune) afin que tout agriculteur (hormis les plus fortunés) puisse bénéficier de la prime PAC (9 milliards d'euros de subventions aux productions agricoles françaises en 2022 qui représente peu ou prou 10% du chiffre d'affaires de l'ensemble des exploitations). Garantir notre souveraineté alimentaire et agricole exige de réserver la mention "Origine France" aux aliments produits en France, d'interdire les produits OGM/NTG (Nouvelles Techniques Génomiques) et de généraliser la Dotation Jeunes Agriculteurs à tout primo-agriculteur diplômé (BTS Agricole au minimum). Cela exige le strict respect de la loi EGALIM afin de stopper le rapport inique entre industriels, négociants et producteurs. Cela exige de supprimer toute taxe sur le Gazoil Non Routier (GNR). Cela suppose de garantir la traçabilité des produits et de supprimer le "made in Europe" qui ne veut strictement rien dire. Cela suppose une harmonisation des normes de production européenne au sein de la Politique Agricole Commune (PAC) et l'arrêt de la sur-transposition des règles européennes (au nom de la "transition écologique" et de "l'urgence climatique"- qui sont des concepts idéologiques fallacieux inventés par les écologistes radicaux et qui ne correspondent à aucune réalité concrète). Quant aux salaires des 390 000 agriculteurs français (éleveurs, céréaliers, maraîchers, vignerons, apiculteurs, horticulteurs, arboriculteurs, pisciculteurs...), ils devraient bénéficier d'une retraite et d'un revenu décents tant leur mission est essentielle (SMIC au minimum) avec des prix justes qui couvrent leurs coûts de production. La souveraineté alimentaire et agricole est défendue par les Souverainistes en réaction aux Fédéralistes européistes qui défendent le développement d'une agriculture de marché mondialisée, l'inflation bureaucratique, les délocalisations systématiques, la diminution des surfaces cultivées, les jachères injustifiées, les prix bas, l'écologisme punitif, le libre-échange, la concurrence déloyale, les importations massives et la fin des petits exploitations (en France, 27% des exploitations ont moins de 10 hectares). La souveraineté alimentaire et agricole suppose le développement d'un élevage éthique (vaches, porcins, ovins, volaille... élevés en plein air, en pâturage, sans anti-biotiques et sans vaccins) ainsi que l'interdiction des abattages rituels et des boucheries Halal et Casher sur tout le territoire français et dans les Outre-Mer. La Souveraineté alimentaire et agricole exige la préservation des écosystèmes dans la mesure où son objectif est de limiter au maximum l'empreinte écologique des échanges de biens, que ce soit en matière de consommation d'énergie fossile ou d'émission de gaz à effet de serre. Cela induit une politique volontariste en matière d'économies d'énergie (développement de l'habitat passif, pratiques agro-forestières, développement des haies...), de promotion des énergies non polluantes (nucléaire, solaire, hydraulique hors de l'énergie éolienne que les Souverainistes veulent interdire), de préservation des exploitations forestières (3205 entreprises françaises) et de nos forêts qu'elles soient privées ou publiques (avec l'arrêt des coupes massives) et enfin la préservation des espaces naturels qui couvrent à ce jour 47% du territoire français, soit 30 millions d'hectares.  La Souveraineté alimentaire et agricole implique la réécriture complète du Code de la Ruralité et de la Pêche Maritime pour passer de 3500 pages à 100 pages afin de mettre fin à l'embolie législative, normative et réglementaire qui accable les agriculteurs et éleveurs français - la simplification administrative est urgente pour permettre aux agriculteurs de se recentrer sur leur coeur de métier. La Souveraineté alimentaire et agricole implique aussi d'uniformiser les règles dans le domaine des élections aux Chambres d'agricultures : Les Souverainistes plébiscitent un modèle éthique, à savoir obligation du vote par correspondance ou sur place, harmonisation nationale des documents électoraux (bulletin de vote, formulaire de candidature, profession de foi), liste départementale, subvention ministérielle fondée sur la règle 25% de sièges/75% des suffrages. La Souveraineté alimentaire et agricole implique par ailleurs de privilégier la consommation de produits locaux, les circuits courts, le localisme agricole et à promouvoir l'interdiction des produits étrangers dans les cantines scolaires françaises par une modification substantielle du Code des Marchés Publics (Le chef d'un établissement scolaire (à l'instar d'un chef d'entreprise) doit pouvoir bénéficier d'un budget dédié pour établir des factures et acheter des produits locaux pour sa cantine scolaire en toute facilité). La souveraineté alimentaire et agricole vise enfin à encourager le développement de l'agriculture tant conventionnelle que biologique (58 000 exploitations en 2023) et la promotion du pastoralisme (pâturage, transhumance, rusticité, bien-être animal). En ce qui concerne l'industrie lainière française, les Souverainistes souhaitent la soutenir par son inscription obligatoire dans l'enseignement agricole, par une rémunération attractive des lainiers et des lainières (via un prix plancher re-négocié chaque année), par la promotion au sein de la filière textile des fibres naturelles françaises (Mérinos, Alpaga, Mohair, Angora, Brigasque, Textel...) car la filière textile constitue le prolongement naturel de l'activité agricole. La souveraineté alimentaire et agricole vise à mettre en oeuvre un moratoire sur la pêche industrielle intensive (qui sont à l'origine des captures accidentelles de mammifères marins dont les dauphins) et à interdire l'utilisation de certains phytosanitaires (substances classées CMR1) et certains additifs (E407, E433, E466, E471) dont nombreux sont cancérigènes. L'argument principal de la souveraineté alimentaire et agricole est donc à la fois économique, environnemental, éthique, sanitaire et social. De ce point de vue, le transport routier des marchandises qui représente 650 000 salariés et 89% du fret doit être soutenu par les pouvoirs publics car il est indispensable au maintien de la souveraineté de la France. La souveraineté alimentaire et agricole est aussi le fruit d'une éthique humaniste, dans la mesure où l'activité locale est un moyen pour les agriculteurs français de subvenir à leurs besoins et de développer un revenu rémunérateur. La souveraineté alimentaire n'est pas en opposition avec "le libéralisme humaniste" dans la mesure où elle n'entend pas limiter la création de richesses, la prospérité des agriculteurs, la compétitivité de l'agriculture française et le développement des exploitations à capitaux familiaux. La préservation de la souveraineté alimentaire et agricole  ne peut exister que grâce à un patriotisme économique et agricole volontariste pour faire face aux Lobbys industriels mondialistes ayant tout intérêt à voir leur zone de chalandise et leur promotion des OGM (que les Souverainistes veulent interdire) extensibles à l'échelle internationale. Le défi de la souveraineté alimentaire et agricole est la clé de l'avenir car la mondialisation agricole, le développement des OGM, l'utilisation massive des pesticides, la réduction des agriculteurs et éleveurs français, les faibles revenus agricoles mettent en péril le devenir alimentaire de la France. La préservation de la souveraineté alimentaire et agricole de notre pays est la seule solution pour garantir la pérennité et la prospérité de ce secteur économique clé, la variété et la qualité des produits français, la bonne santé des consommateurs, le développement des zones AOP, AOC, IGP (plus de 700 à ce jour) et des produits Label Rouge (436 produits), l'excellence de notre gastronomie française - reconnue dans le monde entier. Quant à la pêche industrielle française qui représente 450 entreprises, 12 000 marins-pêcheurs, 8000 tonnes de produits et 90 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, elle doit être soutenue par les Pouvoirs Publics mais accepter un moratoire mensuel pour reconstituer les bancs de poissons en voie de disparition. Ce moratoire mensuel sur la pêche industrielle devrait être défendu à l'échelle européenne et internationale. 

Les Souverainistes militent pour un arrêt total de l'immigration non-européenne qu'elle soit professionnelle, familiale ou estudiantine, pour l'expulsion de tous les clandestins sans papier (900 000 personnes) et pour la rémigration massive des étrangers non-européens (Maghrébins et Subsahariens en priorité) dans leur pays d'origine car le Grand Remplacement mène la France tout droit au Grand Déclassement.  Les propositions du Parti Politique Les Souverainistes dans les domaines sécuritaire et migratoire sont aujourd'hui considérées par beaucoup de Français et de Françaises comme les plus courageuses, les plus déterminées et les plus volontaristes en comparaison de celles de tous les Partis Politiques français. Lourd d'une charge affective et historique, l'Hexagone est la forme symbolique du pays et de la Nation française. Cet espace géographique aux proportions équilibrées et harmonieuses a conduit la France à ce qu'elle est aujourd'hui : un territoire soucieux de se protéger des invasions migratoires par des frontières naturelles, des démarcations stratégiques et des lois protectrices. La peur de l'envahissement a toujours hanté l'inconscient collectif du Peuple français attaché à son "pré carré". L'Histoire de France est d'ailleurs constellée d'héroïnes et de héros vaillants et providentiels - de Sainte-Geneviève à Charles de Gaulle, sans oublier Vercingétorix, Charles Martel et Sainte Jeanne d'Arc - soucieux de protéger les frontières nationales, de lutter contre les razzias barbaresques et de "bouter" TOUS les étrangers hors de France. La construction de citadelles, de remparts, de châteaux forts, de phares, de tours littorales et de forteresses par Vauban, l'édification de la ligne Maginot en 1929 répondent aux mêmes préoccupations protectionnistes. Heureusement, notre pays ne manque pas de façades maritimes et de massifs montagneux qui ont toujours servi de frontières naturelles. Au Nord, la Manche forme un rempart contre l'Angleterre. Au Sud-Ouest, la chaîne des Pyrénées forme un rempart contre l'Espagne. Au Nord-Est, la "ligne bleue des Vosges" forme un rempart contre l'Allemagne tandis que les Alpes séparent la France de l'Italie et de la Suisse. Au Sud, la Mer Méditerranée sert de frontière aux invasions maghrébines et africaines. Personne ne contestera que la France n'est devenue une terre d'immigration que dans les années 70, après l'accueil de millions d'immigrés d'origine maghrébine et africaine, la légalisation controversée du regroupement familial (1975), l'accueil de mineurs étrangers (100 000 depuis 2017 dont la majorité sont de confession musulmane et majeurs !), la naturalisation excessive de ressortissants non-européens puis la création de l'Espace Schengen en 1985 qui légalise la libre circulation et la libre installation de 450 millions de ressortissants au sein d'un vaste territoire de 27 Etats-Membres (dont seuls 23 appartiennent à l'Union Européenne !). Cet espace Schengen (dont la France doit sortir temporairement car les Souverainistes français défendent la mise en place d'un FREXIT MIGRATOIRE) fonctionne comme un espace unique dans lequel le franchissement des frontières intérieures s'effectue librement, sans passeport et sans contrôle d'identité. Bien que plébiscités par les entrepreneurs,  les accords de Schengen de 1985 (renforcés par les accord de Dublin III de 2013 signés par 32 pays) sont malheureusement à l'origine de la submersion migratoire arabo-musulmane car beaucoup de réfugiés (de toutes nationalités) peuvent se voir accepter l'entrée dans l'espace Schengen sur des fondements humanitaristes ou y pénètrent clandestinement en raison de la faiblesse structurelle de l'agence européenne FRONTEX, des failles du système EURODAC et du détournement abusif du Droit d'Asile par les migrants et les passeurs (150 000 étrangers non-européens en 2023 ont déposé une demande de droit d'asile sur des arguments fallacieux). Depuis les années 70, cette invasion continue d'immigrés non-européens (7 millions d'étrangers d'origine arabo-musulmane vivent en France en 2023) a coûté à notre pays plus qu'il ne lui a rapporté avec une explosion du chômage, de l'assistanat, de la délinquance, de la criminalité et du traffic de stupéfiants. Pour rappel, 95% des individus incarcérés sont d'origine arabo-musulmane ou africaine (source IPJ). En 2023, les trafics illicites (90 tonnes de stupéfiants, 285 tonnes de cigarettes de contrebande et 5,5 millions de contrefaçons émanant du Maghreb ont été saisis par les 16 900 agents de la Douane française en 2023) ont explosé. Selon l'INSEE, le traffic de stupéfiants génère un chiffre d'affaires annuel de 3 milliards d'euros en France qui profite essentiellement au Département de la Seine-Saint-Denis (93) devenu, en raison de l'économie souterraine, le 2ème département le plus "riche" de France. En 2023, 10% de la population française est désormais constituée d'immigrés d'origine arabo-musulmane, 900 000 clandestins (tous arabo-musulmans) vivent illégalement en France avec la complicité coupable du gouvernement français et plus de 500 "zones de non-droit" se sont installées dans les banlieues franciliennes. Cette invasion migratoire d'origine arabo-musulmane qui coûte 153 milliards d'euros par an aux finances publiques selon les chiffres du célèbre démographe Jean-Paul GOUREVITCH (dont 10 milliards d'euros par an au titre de la Politique de la Ville et 143 milliards d'euros en revenus, prestations et logements sociaux) a mis à mal le succès du modèle français d'assimilation fondé sur un processus d'acculturation rigoureux qui conduisait les immigrés (qui étaient TOUS majoritairement Européens et Catholiques avant 1970) à devenir Français en adoptant la langue, les traditions, les coutumes, les prénoms, les habitudes alimentaires, les codes de civilité, les codes vestimentaires et les valeurs démocratiques de notre pays. Aujourd'hui, face à l'invasion migratoire d'origine arabo-musulmane (4 millions de titres de séjour délivrés par le Ministre de l'Intérieur depuis 2017), les Souverainistes militent pour un arrêt total de l'immigration non-européenne, pour la rémigration massive des arabo-africains dans leur pays natal et pour une révision constitutionnelle majeure (les articles 1 et 55 de la Constitution de 1958 en priorité) afin de caractériser ce qui constitue notre identité nationale. Les Souverainistes plaident aussi pour que la France sorte temporairement de l'Espace Schengen car nos frontières sont devenues des passoires (seuls les élus,  diplomates, chefs d'entreprise et commerciaux pourront bénéficier d'un laisser-passer européen), qu'elle se retire du régime d'asile européen commun (RAEC)  et que l'OFPRA (Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides) créé en 1952 évolue en une Agence Nationale de la Rémigration chargée de répondre aux problématiques des migrants et d'accélérer leur retour dans leur pays natal. La Cour Nationale du Droit d'Asile (CNDA) créée en 2007 qui remet en cause à peu près tous les refus de l'OFPRA devra de même être supprimée. Considérant que 85% de la population française se déclare menacée par le Terrorisme Islamique et par le "Grand Remplacement", les Souverainistes militent pour un arrêt total de l'immigration d'origine arabo-musulmane, qu'elle soit légale ou illégale, durant le quinquennat et la mise en place de 20 mesures radicales, courageuses et déterminées :  1/Suppression du droit du sol au profit du droit du sang sur l'ensemble du territoire français et des Territoires d'Outre-Mer;  2/ Suppression de la Bi-Nationalité et interdiction pour tout ressortissant français de servir dans une armée étrangère ; 3/ Interdiction des publicités multi-ethniques qui promeuvent le Grand Remplacement et interdiction de toute manifestation française sous drapeau étranger ;  4/Dissolution des associations salafistes et des associations pro-migrants et arrêt du dispositif des "Mineurs Etrangers Isolés" qui coûte 50 000 euros par an par MEI (car la plupart sont majeurs, délinquants et refusent de se soumettre aux tests osseux de minorité) ; 5/ Application de la "Préférence Nationale" pour les logements sociaux, les aides sociales, les revenus sociaux, les allocations familiales, le RSA, les allocations chômage, l'AAH (Allocation Adulte Handicapé) et l'accès à la fonction publique ; 6/Durcissement des critères d'accès à la naturalisation française des NON-Européens (citoyen de l'UE des 27) et obligation d'obtenir le niveau B2 ou le Certificat VOLTAIRE (qui atteste d'un bon niveau en orthographe et en expression écrite) pour obtenir la naturalisation française ;  7/Interdiction des abattages rituels en France (Casher et Halal);  8/Fermeture administrative de toutes les mosquées salafistes, de toutes les associations islamiques, de tous les lycées et écoles coraniques ; 9/Renvoi des imams étrangers et des aumôniers musulmans exilés en France au Maghreb, leur terre natale et interdiction des prières de rue d'origine islamique ; 10/Interdiction des tenues folkloriques et islamiques dans l'espace public, les mairies, les transports publics, les commerces privés, les établissements scolaires, les piscines publiques et les plages municipales, les entreprises tant privées que publiques et toutes les administrations françaises ; 11/Modification de la loi du 15 mars 2004 afin que soit stipulé dans la Loi française que : "Dans les écoles, collèges, lycées et universités français, le port de déguisements, de tenues folkloriques ou indécentes est strictement interdit"  ; 12/Suppression de l'AME aux étrangers et aux clandestins (L'Aide Médicale d'Etat a bénéficié à 450 000 étrangers et clandestins en 2023 pour un coût d'1,2 milliards d'euros) ; 13/Pénalisation accrue du proxénétisme et du naturisme sur les réseaux sociaux, à la TV et dans l'espace public ; 14/ Interdiction pour tout étranger d'être Président d'une association, d'un syndicat ou d'une entreprise publique française ;  15/Protection renforcée des frontières françaises (via la militarisation de FRONTEX avec une amplification des garde-côtes et des garde-frontières (de 3000 aujourd'hui à 12 000 demain) sur les 1900 points d'entrée européens) ;  16/Suppression de l'article constitutionnel relatif au Droit d'asile créé par la loi du 11 mai 1998 qui est largement dévoyé (cet article 53.1 de la Constitution française doit être supprimé car il est à l'origine de l'explosion des demandes d'asile et de la submersion migratoire islamique) ; 17/Mise en oeuvre à 100% des OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français), des ITF (Interdiction Définitive du Territoire Français) et des IAT (Interdiction Administrative du Territoire) et expulsion systématique des clandestins et des déboutés du droit d'asile (sous peine de prison); 18/Rétablissement du délit de clandestinité, du délit de Sans-Abrisme et du délit de mendicité  ;19/Construction de centres de rétention administrative pour les clandestins près de nos frontières hexagonales ;  20/Audit ethnique et religieux de la population française chaque année via l'INED (Institut National d'Etudes Démographiques). Les Souverainistes militent pour que la France ne se soumette plus aux injonctions du HCR (Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés), que toute demande de visa (touristique, professionnelle ou estudiantine) soit faite dans les consulats et les ambassades de France situés à l'étranger et non sur le territoire français. Ils défendent la mise en place de Titres de Séjour Territorialisés pour les Territoire d'Outre-Mer. Ils militent pour l'indépendance de Mayotte (île de confession musulmane, membre à part entière de l'Archipel des Comores, située à 8000 km de Paris et à 300 km de Madagascar) car la départementalisation de Mayotte a entraîné chaos, explosion des coûts, délinquance incontrôlable  et submersion migratoire : la maternité de Mamoudzou (capitale de Mayotte) est aujourd'hui la 1ère en France et en Europe ; l'orphelinat de Mamoudzou est débordé car 80% des naissances à Mayotte sont le fait de mères étrangères (souvent mineures) et la plupart des bébés sont ensuite accueillis dans les orphelinats de l'Aide Sociale à l'Enfance. Les Souverainistes plaident pour la mise en place d'une carte de sécurité sociale biométrique pour stopper la fraude sociale (en 2023, 75 millions de personnes sont inscrites à la CPAM pour 67 millions de Français !!!). Sur la question des doubles nationalités qui concernent 10% de la population française, les Souverainistes militent pour que le droit de vote, le droit d'éligibilité, le droit de création d'une association, d'une entreprise ou d'un syndicat, le droit d'accès à la fonction publique française et aux Armées Françaises (hormis la Légion étrangère) soient réservés uniquement aux Français majeurs des deux sexes munis de leurs droits civils et politiques. Sur la question sécuritaire, judiciaire et élective, la France compte à ce jour 35 000 Maires, 550 000 élus locaux, 330 000 militaires, 150 000 policiers, 100 000 gendarmes, 70 000 avocats, 16 000 notaires, 9 400 magistrats, 6 000 huissiers de justice, ce qui la situe dans la moyenne haute des pays européens et ce qui justifie un moratoire sur l'augmentation des effectifs policiers, militaires et judiciaires. Néanmoins, il demeure qu'une force militaire de cyber-combattants doit être mise en place pour lutter contre la cyber-criminalité et la propagande numérique à la fois islamique, LGBT et communiste. Quant aux crimes, délits, trafics, féminicides, agressions, vols et viols qui se sont accrus depuis 2017 (24 000 coups et blessures répertoriés/mois), ils ne pourront être résorbés qu'avec le déclenchement d'un plan de rémigration massif, l'expulsion des délinquants étrangers et la construction de 10 000 places de prison supplémentaires à l'horizon 2027 (il y en a 62 000 à ce jour) éloignées des grandes villes. En ce qui concerne le grave problème des toxicomanes, leur placement (sur recommandation médicale) dans des centres de désintoxication doit être possible et celle des trafiquants de drogue est en prison. La politique publique de prohibition de la drogue (cannabis compris) doit être renforcée sur le plan pénal (car la drogue est un poison). De même, la vente d'alcool, de cigarettes, de vapoteuses, de stupéfiants aux mineurs est strictement interdite en France et leur vente comme leur consommation doivent être l'objet de sanctions pénales renforcées. A cet effet, les pouvoirs du CNC et de l'Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité (ARPP) doivent être accrus pour censurer toute publicité ou film constituant "un outrage aux bonnes moeurs". En qui concerne l'ARCOM, elle doit veiller à ce que la liberté d'expression et le pluralisme des opinions au sein du Paysage Médiatique Français définis par l'article 13 de la Loi du 30 septembre 1986 visant à garantir la répartition équitable du temps des parole des candidats et des Chefs des Partis Politiques au sein d'une même chaîne (et en particulier au sein des chaînes publiques) soient pleinement respectés. Les Souverainistes militent aussi pour la fermeture immédiate des "salles de shoot" qui se multiplient à Paris car elles encouragent la consommation de cannabis et de drogue. Enfin, en ce qui concerne la délinquance juvénile, l'ordonnance du 2 février 1945 relative à l'excuse de minorité doit être remise à jour et renforcée avec le développement de Centres Educatifs Fermés dédiés aux mineurs délinquants et aux Mineurs Etrangers Non Accompagnés (venant essentiellement d'Afrique et du Maghreb). Le régime d'irresponsabilité pénale des mineurs doit être maintenu jusqu'à leurs 18 ans révolus et ne doit être susceptible de dérogation qu'à titre exceptionnel - un mineur de moins de 18 ans ne devant subir ni garde à vue, ni détention provisoire sauf en cas de vol, viol ou assassinat avéré. Respectueux de l'article 66.1 de la Constitution française de 1958, les Souverainistes sont opposés à la peine de mort et à l'euthanasie (ou suicide médicalement assisté). Ils militent pour que soit instaurée une réclusion criminelle à perpétuité pour les crimes les plus abominables. 

La défense de la langue, de la culture et de la civilisation française est l'un des enjeux majeurs du Souverainisme. Pour que le sentiment patriotique ait pu se répandre en France et transformer notre pays en une Nation forte et fière de 67 millions d'habitants (dont 16 millions d'enfants de moins de 18 ans), il a fallu la conviction toujours réaffirmée que vivre ensemble sur une même terre symbolisait l'identité commune de tout un peuple. "Une Nation est une âme" affirmait Ernest Renan mais plus encore une Nation symbolise la "communauté d'idées, d'intérêts, d'affections, de souvenirs et d'espérances" qui soude un peuple, et en particulier le Peuple français. Quant au récit national, il continue de superposer la France et la Gaule, la première étant la suite logique de la seconde tandis que "Nos Ancêtres les Gaulois" continuent d'habiter la mémoire collective des Français. La France demeure un pays dont la dimension politique est aussi géographique. La terre y est le socle d'une culture où au "désir de vivre ensemble" cher à Ernest Renan s'ajoute le culte de la "terre et des morts" propre à Maurice Barrès. D'ailleurs, face aux immigrationnistes, le Général de Gaulle ne craignait pas d'affirmer, que "les Français sont un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne". Ce que De Gaulle dit pour la France est bien sûr valable pour les autres pays européens. Car au moment où la France joue une part de son destin national dans la construction européenne dont les Français craignent à juste titre qu'elle efface nos traditions, notre identité et nos frontières, la défense de la civilisation française se fait plus ardente en France et en particulier chez les Souverainistes. La phrase d'André Malraux : "la nature d'une civilisation, c'est ce qui s'agrège autour d'une religion" inspire leur conception de la civilisation française qui est intimement liée au développement du christianisme. Quant à la souveraineté linguistique, elle est capitale. Car même si l'appartenance à une langue régionale est souvent revendiquée par quelque minorité, la langue française est notre point d'union et d'identité. Depuis les Serments de Strasbourg en 842, le Français est la langue de notre Pays et depuis 1992, "la langue de la République est le français" (Article 2 de la Constitution française). Pour les Souverainistes, aucune subvention publique ne devrait être attribuée à des événements, films, entreprises ou associations utilisant une autre langue que le français et ceci, dans le strict respect de la Loi Toubon du 4 août 1994. Quant aux anglicismes et arabismes, les Souverainistes considèrent qu'ils doivent être bannis des publicités, des films et du Dictionnaire de la Langue française. De même, ils militent pour que les Grands Prix Littéraires soient remis uniquement à des Français (et non à des bi-nationaux) et qu'un Grand Prix de la Francophonie soit instauré pour récompenser les écrivains francophones. De même ils considèrent que les Membres de l'Académie Française (créée par Richelieu 1634) doivent être Français et non bi-nationaux ou étrangers.  Sur le plan statutaire, les Souverainistes considèrent que la Nation française ne peut être l'addition de communautés régionales disposant chacune de leur statut spécifique sur le modèle de la Calédonie ou de Tahiti. Car le régionalisme radicalisé mène souvent aux revendications indépendantistes voire séparatistes. Néanmoins, les Souverainistes attachés à la prospérité de la Corse et des territoires ultra-marins plaident pour que l'article XIII de la Constitution française de 1958 relatif à la Nouvelle-Calédonie soit réécrit et élargi à l'ensemble de la Corse et des territoires d'Outre-Mer qui devraient bénéficier d'un article constitutionnel propre à leur insularité. Enfin, dans le cadre de la défense de la Civilisation française, les Souverainistes ont à coeur de défendre la culture française,  l'Histoire de France, le Roman National, ses héros et ses héroines, à valoriser les traditions, les terroirs, l'enracinement, la gastronomie par opposition à la Macronie qui défend abusivement (à travers propagande et publicités) le multiculturalisme, l'oeucuménisme, la repentance coloniale, l'égalitarisme niveleur, l'idéologie du genre, l'écriture inclusive et le métissage forcené de la population française. Bilan de la politique gouvernementale de Monsieur ATTAL : en 2023, en France, le Grand Remplacement (dans les banlieues françaises et à Mayotte) est devenu une réalité incontestable et 50% de la population en Ile-de-France est désormais métissée. 

Le souverainisme économique est un gage du plein-emploi et de la réduction drastique du chômage. Le souverainisme économique désigne un comportement des pouvoirs publics, des entreprises et des consommateurs visant à favoriser les entreprises françaises et leurs produits et ceci au détriment des firmes étrangères. Produire en France, acheter des produits français, privilégier une alimentation française, recruter des Français et des Françaises, donner la priorité dans la commande publique aux produits français, favoriser les commerçants, les agriculteurs et les restaurateurs français pour sauver nos emplois sont les meilleurs moyens pour stimuler la croissance, réduire les faillites (56 000 en 2023) et le chômage massif (6 millions de chômeurs en 2023 (soit 8% de la population active): 3,7 millions en chômage total et 2,3 millions en chômage partiel). Paradoxalement, 1 million de postes proposés par Pôle Emploi sont toujours à pourvoir tant le coût du travail en France est élevé, l'assistanat attractif, la complexité du code du travail abyssale et les formations souvent inadaptées. Il est à noter par ailleurs que la dette de l'assurance chômage (gérée par l'UNEDIC) a atteint les 55 milliards d'euros en 2023 et ne cessera de se creuser tant que l'assistanat (au détriment du travail) continuera d'être promu et facilité. A ce titre, les Souverainistes défendent le maintien de la durée légale du travail à 35h/semaine avec la possibilité de travailler jusqu'à 48h/semaine (sous forme d'heures supplémentaires entièrement défiscalisées) et militent pour une réforme des durées d'indemnisation du chômage (1 an pour les moins de 40 ans ; 2 ans pour les 40-50 ans ; 3 ans pour les plus de 50 ans). Pour augmenter le pouvoir d'achat, les Souverainistes défendent la suppression de toutes les charges sociales et cotisations patronales sur les emplois publics comme privés, le blocage des prix sur 100 Produits de Grande Consommation (PGC) (baguette et timbre vert compris qui seront fixés à 1 euro). En ce qui concerne l'âge légal l'âge de la retraite (pour les fonctionnaires comme pour les salariés), les Souverainistes souhaitent qu'il soit fixé à 62 ans (et non 64 ans). hormis pour les militaires, les policiers, les pompiers et les danseurs de l'Opéra de Paris qui doivent bénéficier d'une retraite anticipée compte tenu des contraintes inhérentes à leur métier. En ce qui concerne les Français ayant travaillé avant l'âge de 18 ans, pour les métiers à forte pénibilité (les critères de pénibilité doivent être re-définis) ou pour raisons de santé (invalidité, inaptitude, maladie), les Français doivent pouvoir bénéficier, s'ils le souhaitent, d'un départ à la retraite à 60 ans à taux plein. Les Souverainistes défendent une durée de cotisation égale à 40 annuités soit 160 trimestres (et non 172 trimestres, soit 43 annuités comme l'impose la Réforme des Retraites Borne) pour pouvoir bénéficier d'une retraite à taux plein (soit 60% du dernier salaire brut ou traitement indiciaire brut dans la limite de 10 000 euros net par mois (et non 27 000 euros/mois comme aujourd'hui) avec la possibilité de racheter des trimestres d'études supérieures. Compte tenu de l'évolution de la longévité en France (85 ans pour les femmes, 79 ans pour les hommes en 2023), le dispositif de cumul emploi-retraite doit être possible mais n'ouvrir aucun droit supplémentaire à la retraite. A terme, l'évolution de l'âge légal de la retraite devra évoluer jusqu'à 65 ans, ce qui correspond à la moyenne européenne et aussi parce que le paiement des retraites (qui pèse 330 milliards d'euros en 2022, soit 14% du PIB) constitue le 1er poste de dépense pour les finances publiques. En ce qui concerne la pension de réversion, les Souverainistes militent pour qu'elle soit égale à 60% de la pension globale de l'époux défunt et qu'elle soit versée dès le décès de l'époux (les concubins et les PACSés en seront exclus) et qu'au décès de l'époux, le conjoint survivant puisse conserver son cadre de vie existant. Le souverainisme économique intègre également un volet défensif qui lui vaut parfois d'être qualifié de protectionniste car les souverainistes militent pour qu'aucun vignoble, terre agricole, château, aéroport, entreprise française ne puisse être acheté en totalité par un investisseur étranger et qu'aucune entreprise étrangère installée sur le sol français ne puisse bénéficier de subventions publiques françaises. Ils souhaitent que l'Etat français vende ses participations minoritaires dans des entreprises non stratégiques à hauteur de 15 milliards d'euros. Le souverainisme économique implique aussi de faciliter le statut d'auto-entrepreneur ou de loueur de meublé (LMNP) et d'en déplafonner entièrement les recettes. Il exige de prêter une attention particulière aux 25 millions d'entreprises françaises dont 78 000 sont franchisées. Il implique de protéger les start-ups, les petites et moyennes entreprises et les grands groupes quant à la part de capital détenue par les actionnaires étrangers, aux captations des technologies sensibles par des entreprises étrangères, aux tentatives d'OPA inamicales, aux levées de fonds acquises auprès d'investisseurs étrangers. La protection des technologies et des inventions hexagonales témoigne aussi de la volonté des Souverainistes de préserver les atouts économiques de la France dans un contexte de mondialisation extrême. Le Souverainisme économique s'exprime à travers le soutien des Souverainistes à  l'activité des territoires, aux bassins économiques régionaux, aux pôles de compétitivité départementaux, aux productions labélisées AOC/AOP et aux secteurs industriels jugés stratégiques ou "sensibles". Les activités ayant trait à l'armement, à l'aéronautique, au spatial, à l'alimentation, au nucléaire, à l'habillement, à la sécurité des systèmes d'information, aux biotechnologies, à la chimie, à l'automobile, à la métallurgie, à l'énergie, à la pharmacie en font partie. En ce qui concerne le Souverainisme numérique, les Souverainistes plaident pour que le stockage des données numériques soit confié à 100% à des "cloud" français et souhaitent rappeler que l'économie numérique, prétendument immatérielle, est énergivore et polluante. Ce dispositif de production et d'innovation nationale doit être durablement conforté par un assouplissement du Code du Travail (réduit à 100 pages), la baisse massive des impôts et des taxes, la suppression de l'impôt de production (CVAE), un paritarisme rénové, la promotion de l'actionnariat salarié à travers la défiscalisation de la prime de la participation, de l'intéressement et du plan d'épargne entreprise. Pour développer le Souverainisme économique, les Souverainistes défendent les relocalisations industrielles, la méritocratie éducative, la promotion des dirigeants français à la tête des grands groupes français voire européens, la taxation des produits étrangers qui ne respectent pas les normes communautaires et à un mix électrique fondé sur 4 énergies souveraines : le nucléaire, le solaire, l'hydraulique, le gaz  (les Souverainistes étant fermement opposés aux éoliennes dont ils souhaitent le démantèlement et l'interdiction). Ils défendent le strict respect du repos dominical (hormis pour les commissariats de police et les urgences hospitalières qui doivent rester ouverts 7j/7 et 24H/24h). Enfin, ils militent pour que toute entreprise française qui recrute un étranger en lieu et place d'un salarié français soit lourdement taxée (taxe de 30% sur le salaire brut) et que l'accès à la fonction publique et aux armées françaises (hors Légion étrangère) ainsi que le droit de vote et d'éligibilité soient réservés uniquement aux Nationaux français et majeurs (et donc interdits aux étrangers et aux bi-nationaux). Les Souverainistes souhaitent rétablir les 90km/heure sur les routes nationales et départementales et supprimer le permis à points. Le programme économique des Souverainistes permettra de combler en partie la dette publique, de baisser la dépense de l'Etat de 200 milliards d'euros par an, de créer 2 millions d'emplois dans le secteur privé en 5 ans, de ramener le taux de chômage à 4% compte tenu de la suppression des charges sociales et cotisations patronales sur l'ensemble des salaires tant privés que publics (seules seront conservées la CSG et la CRDS).